Conseil & Services informatiques : Weexa / Eumatech / EDI Xperts (Maroc / France)
Un nouvel acteur vient d’être porté sur les fonts baptismaux, sur le marché de la dématérialisation des flux de données, qui représente plusieurs dizaines de milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’échelle mondiale. Issu du rapprochement capitalistique du groupe marocain Eumatech et de son confrère français EDI Xperts, Weexa intervient sur l’intégralité de la chaîne de valeur en matière d’intégration de flux B2B. Le premier, lancé en 2002 à Casablanca par Jérôme Fleury, Laurent Leboisne et Malik Touimi Benjelloun, puis à Clichy (92) l’année suivante, est axé sur le pilotage de flux d’information, mais aussi le conseil et recrutement de managers pour le compte de grandes entreprises locales et multinationales, au Maroc et en Afrique. Fondé en 2009 à Paris par Pablo Cardoso et Tan Nguyen, le second se spécialise dans l’intégration de données, en particulier les Electronic Data Interchange (EDI). S’adressant tant aux grandes entreprises qu’aux PME / PMI, le groupe issu de cette fusion propose conseil opérationnel, pilotage, intégration et support de flux B2B. Présent dans des secteurs d’activité aussi variés que la distribution, l’automobile, la santé ou encore la logistique et le transport, il accompagne ses clients à l’international, grâce à ses implantations en France, Turquie, République Tchèque, Hongrie, Maroc, Royaume-Uni, Japon et Thaïlande, qui lui permettent de couvrir l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique, ainsi que la zone Asie-Pacifique. Il intervient par ailleurs ponctuellement sur le continent américain, où il devrait prochainement prendre pied. Ses quelque 90 collaborateurs revendiquent une expertise éprouvée sur les différentes solutions de pilotage des flux de données, et tirent profit de partenariats établis depuis une vingtaine d’années avec les principaux éditeurs internationaux du secteur. Weexa, dont le siège social est situé à Clichy, souhaite consacrer l’année à venir à la consolidation de sa position de leader sur son périmètre métier. « Nous anticipons une croissance organique importante et il n’est pas impossible que nous ayons recours à de la croissance externe. Nous sommes aujourd’hui le seul acteur spécialisé à gérer l’intégration des flux B2B de bout en bout, ce qui nous confère un atout majeur par rapport à la concurrence », a expliqué Jérôme Fleury, son président (voir fiche opération sur CFNEWS).
Santé : Cliniques Internationales du Maroc / Vantage Capital (Maroc / Afrique du Sud)
Le groupe de santé Cliniques Internationales du Maroc (CIM Santé), contrôlé par la famille Chaara, fait entrer dans son capital le gestionnaire de fonds mezzanine sud-africain Vantage Capital, en contrepartie d’un investissement de 23,4 M€ (28 M$) destiné à financer son développement en Afrique subsaharienne. Réalisée par le biais de sa société mère, CIM Holding, cette levée de fonds, dont le pourcentage de participation n’a pas été divulgué, permettra d’une part de construire deux nouvelles cliniques à Tanger et Casablanca, et d’autre part d’agrandir un établissement hospitalier à Marrakech (projet qui représente un montant global de 55 M€, soit 600 MMAD). Au-delà de l’expansion au Maroc, l’investissement permettra de financer le développement du groupe en Afrique subsaharienne, notamment en Afrique de l’Ouest, où des cliniques supplémentaires devraient voir le jour au cours des prochaines années. Créé en 1994 par le cardiologue Assad Chaara, CIM Santé détient trois cliniques, respectivement situées à Rabat, Marrakech et Tanger (cette dernière devant être opérationnelle d’ici la fin de l’année), qui totalisent 320 lits, quinze blocs opératoires et deux salles de cathétérisme cardiaque. Le groupe, qui ambitionne de venir l’un des plus modernes et plus performants groupes privés de santé du royaume, comprend également des centres de radiologie et d’autres activités médicales et paramédicales à Marrakech et Tanger.
Pour Vantage Capital, le plus grand fonds mezzanine du continent avec plus de 840 M€ d’actifs sous gestion en 2019, cette opération de financement représente son plus important investissement en capital-développement à ce jour. Il s’agit aussi de son premier investissement en fonds propres, de son deuxième investissement au Maroc (après celui dans le groupe informatique Equity Invest, l’an dernier), de son troisième en Afrique francophone et de sa trentième transaction sur trois générations de véhicules. Son portefeuille d’investissement est réparti dans dix pays africains et témoigne de l’accent mis par le fonds sur les infrastructures tant matérielles qu’immatérielles : une entreprise d’électricité au Ghana, une autre active dans la distribution de pétrole en Côte d’Ivoire, des développements immobiliers à usage mixte au Nigéria et à Maurice et des activités de câblage fibre optique en Afrique du Sud. Vantage Capital a été conseillé par la branche marocaine de Clifford Chance, ainsi que par Deloitte et Webber Wentzel (pour la fiscalité, le financement, le conseil commercial et stratégique), et par le sud-africain IBIS Consulting (conseil ESG). CIM Santé et la famille Chaara ont mandaté Asafo & Co (conseil juridique), Deloitte Legal (conseil fiscal) et Coram Africa (conseil financier et M&A).
Infrastructures autoroutières : autoroute Nairobi-Nakuru-Mau Summit / Vinci / Meridiam (France / Kenya)
À l’occasion de la visite de cinq jours du président kényan Uhuru Kenyatta en France, Vinci Concession a décroché son premier partenariat public-privé (PPP) avec l'Afrique, en partenariat 50/50 avec le fonds d’infrastructures Meridiam. Décrit comme le plus important contrat de PPP d’Afrique de l’Est pour ces deux groupes tricolores, avec un coût global estimé à 1,3 M€ sur trente ans, il porte notamment sur la construction de l'autoroute Nairobi-Nakuru-Mau Summit. Le projet consiste à transformer une route existante en une autoroute à 2x2 voies sur 175 kilomètres entre Nairobi et les villes de Nakuru et Mau Summit, à travers la vallée du Rift, avec exploitation et maintenance de la nouvelle autoroute pendant trois décennies (voir fiche opération sur CFNEWS IMMO & INFRA). La multinationale cotée française estime que le closing financier du projet aura lieu d’ici fin 2021. Les travaux de construction, qui devraient durer 42 mois, seront réalisés par un groupement de filiales de Vinci Construction : Sogea-Satom (acteur majeur du BTP en Afrique, déjà présent au Kenya), Vinci Construction Terrassement (spécialiste des grands projets d'infrastructures) ainsi que Vinci Autoroutes, filiale de Vinci Concessions (pour les nouveaux modèles de gestion du trafic).
En additionnant ce contrat historique avec les nombreux autres finalisés, à cette même occasion, dans les domaines des infrastructures et de l’énergie, on aboutit à un montant de 2,15 Md€. Les contrats signés incluent le prolongement de la ligne 4 du métro de Nairobi - où coopéreront Transdev, Egis, Vinci et Alstom - ainsi que le raccordement de la centrale électrique de Menengai, qui impliquera General Electric (GE) France.
C’est également à la faveur de sa visite officielle en France, que le président kényan a saisi l’opportunité d’encourager les investissements français dans son pays, tout en défendant la candidature de sa compatriote Amina Mohamed à la tête de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). S’adressant aux dirigeants français réunis par le Medef, dans les salons du Cercle Interallié, le 2 octobre, il a souligné : « Il y a dix ans, encore très peu d’entreprises françaises étaient présentes au Kenya. Elles sont plus d’une centaine aujourd’hui ».
Infrastructures télécoms : West Indian Ocean Cable Company / Proparco / EAIF (Maurice / France)
Réaffirmant une nouvelle fois son engagement en faveur de l’innovation et de la croissance économique sur le continent africain - qui représente 51 % de ses interventions en 2019, avec 1,29 Md€ octroyés - Proparco accorde un prêt de 51 M€ (60 M$) à la West Indian Ocean Cable Company (WIOCC), société panafricaine d'infrastructures de télécommunications dont le siège social est établi à Maurice. Lancée en 2007 et employant une cinquantaine de salariés, elle offre des solutions de connectivité aux acteurs des technologies de l'information et de la communication (TIC) en Afrique. L’apport de la filiale dédiée au secteur de privé de l’AFD lui permettra de financer son plan d’expansion dans les régions orientale et australe du continent, plan qui prévoit des investissements dans les infrastructures numériques africaines, y compris dans certains des pays les moins avancés. Proparco a en outre mobilisé 34 M€ supplémentaires (40 M$) auprès du fonds mauricien Emerging Africa Infrastructure Fund (EAIF), contrôlé par l'organisme international Private Infrastructure Development Group (PIDG). En 2007, l’Agence Française de Développement avait accordé à WIOCC un premier prêt au profit d’EASSy, un système de câbles sous-marins de dix mille kilomètres reliant la mer Rouge à l'Afrique du Sud, et permettant ainsi d’améliorer l'accès à Internet dans toute l'Afrique de l'Est et du Sud. Grâce au soutien de Proparco, la cible sera en mesure de créer plus de 200 emplois directs au cours des cinq prochaines années, tout en développant la formation professionnelle en informatique pour les femmes, contribuant ainsi à la réalisation des objectifs de développement durable.
Immobilier : hôtel particulier du 20 avenue Emile-Deschanel à Paris 7e / Mohammed VI / famille royale saoudienne (France / Maroc / Émirats arabes unis)
La famille royale marocaine confirme son goût pour les joyaux de l’architecture parisienne. Après avoir vendu en 2011 son hôtel particulier aux Invalides, le roi marocain Mohammed VI s’en offre un autre à proximité de la Tour Eiffel, au 20, Avenue Emile Deschanel, dans le VIIème arrondissement de Paris. Appartenant jusqu’à présent à un membre de la famille royale saoudienne - l’ancien ministre de la défense Khaled ben Soltane ben Abdelaziz - l’immense demeure, bâtie en 1912 par le promoteur George Hersent, s’étend sur une superficie de 1 000 m2. Selon le site Africa Intelligence, la somme exacte déboursée n’a pas encore été communiquée, mais des agents immobiliers spécialistes du marché de prestige parisien affirmeraient que le prince saoudien avait mis en vente ce bien en début d'année, pour près de 80 M€. Toujours selon ces mêmes sources, il aurait repoussé l'offre à 70 M€ d'un acquéreur ukrainien, peu avant le début du confinement en France le 17 mars. C’est sous la supervision du directeur du secrétariat particulier du roi (Mohamed Mounir Majidi), et de l’avocat du palais royal (Hicham Naciri), que s’est déroulée l’acquisition (voir fiche opération sur CFNEWS IMMO & INFRA). Parmi les autres possessions de la famille royale marocaine figurent plusieurs résidences à Paris, propriétés de la mère de Mohammed VI (Lalla Latifa Amahzoune Alaoui), ainsi que des appartements détenus par les trois sœurs du monarque, sans oublier le château de Betz, dans le Valois (à 75 kilomètres au nord-est de Paris), que le défunt roi Hassan II avait acquis en 1972.
Étude : Quels sont les pays africains les plus attractifs pour l'investissement, selon les acteurs du secteur privé ? (deuxième édition d’Africa CEOs Survey)
Le cabinet Deloitte et l’Africa CEO Forum (un événement consacré au secteur privé africain, co-organisé par le média parisien Jeune Afrique et la Société Financière Internationale - SFI ou IFC) ont publié fin septembre la deuxième édition d’Africa CEOs Survey. Celui-ci fournit un nouvel indice d’attractivité des investissements en Afrique en fonction des réponses données par 150 chefs d’entreprise africains à la question : « Quels pays africains vous semblent les plus attractifs pour investir à l’heure actuelle ? ». Ayant pour objectif de donner un aperçu de la volonté d'investissement des dirigeants du secteur privé, il n’a pas vocation (d’après le cabinet Deloitte), « à analyser les conditions d'investissement ou la facilité de faire des affaires dans les pays en question ». Selon ce rapport, la Côte d’Ivoire conserve sa première position. Suivent le Kenya, le Ghana, le Sénégal et le Rwanda, qui devancent l’Éthiopie, le Nigeria, le Maroc, la République Démocratique du Congo (RDC) et l’Afrique du Sud. Si certains ont maintenu leur position par rapport à l’an dernier (Côte d’Ivoire, Nigeria et Maroc), en dépit de la pandémie, d’autres ont régressé de manière plus ou moins notable, à l’instar du Rwanda, de l’Éthiopie et surtout de l’Afrique du Sud, dont la situation économique préoccupante est aggravée par la corruption et la crise sanitaire actuelle. En bas du classement figurent les Comores, le Lesotho, l’Érythrée et le Burundi.
Par ailleurs, si 95 % des sondés ont constaté un impact négatif de la crise du coronavirus sur leurs activités, les différences en termes d’ampleur s’avèrent considérables selon les secteurs. Ceux des biens de consommation, des services financiers et de l’énergie -l es plus optimistes avant la crise - sont ceux dont le moral a été le plus affecté. Des secteurs comme l’agro-industrie, la santé et de l’éducation semblent au contraire moins anxieux. Néanmoins, une écrasante majorité de dirigeants africains (80 % des répondants) se disent confiants quant aux perspectives du continent à long terme. Cet état d’esprit d’optimisme et de foi en la résilience des économies est nourrie par l’espoir d’un approfondissement de l’intégration économique du continent, grâce au projet de marché unique africain (ZLECA).
Étude : Bridges Builder, la rampe de lancement des meilleures start-ups africaines, publie son livre blanc pour expliquer pourquoi il faut investir dans l'Afrique digitale
La plateforme d’intermédiation et de conseil Bridges Builder, dont nous avions annoncé la naissance au printemps dernier (relire bulletin #92), a publié cet été un livre blanc intitulé « Pourquoi il faut investir dans l'Afrique digitale ? ». Cette structure fondée et dirigée par l’entrepreneure marocaine Sanaa Berthié vise à permettre aux investisseurs européens de financer des start-up africaines. Se présentant comme une véritable rampe de lancement pour les jeunes pousses les plus prometteuses du continent, elle espère, grâce ce livre blanc, démontrer à quel point l’Afrique digitale constitue une formidable source de croissance. Abordant sans complexe les défis présents, les rédacteurs s’efforcent de mettre en exergue d’autres perspectives de développement. Un chapitre est par exemple consacré au rôle essentiel conservé par les TIC en tant que moteurs de la croissance économique africaine. Citant Jean-Michel Huet, associé au sein du cabinet BearingPoint, les auteurs évoquent les cinq sauts numériques (Leapfrog) que constituent les télécoms, les services financiers mobiles, l’e-commerce, l’e-gouvernement et l’économie des plateformes collaboratives. Bridges Builder dresse le constat de la percée inexorable du digital en Afrique, désormais omniprésent et s’étendant à une partie toujours plus importante de la population. D’après les auteurs, un écosystème digital s’affirme peu à peu. La Covid-19 a permis d’accélérer la cadence de la digitalisation, cette dernière apparaissant plus que jamais comme « un outil incontournable de résilience, de croissance et de compétitivité. Bref...une question de survie ».
Événement :
- 6 octobre (18h15-20h30) : conférence 100% digitale « Gouvernances, afri-capitalisme et soft power : la nouvelle donne africaine », organisée par le média l’Opinion et l’agence de communication spécialisée sur l’Afrique 35°Nord. Les intervenants analyseront et décrypteront en live sur les réseaux sociaux l’évolution du continent autour de trois dynamiques : la montée en puissance de nouvelles citoyennetés et formes de gouvernance ; l'émergence d’un afri-capitalisme spécifique ; l'installation progressive du soft power africain. Ils démontreront en particulier comment la tendance, sur le continent, à développer des modèles propres de financement et d’appropriation des moyens de production, avec des groupes le plus souvent familiaux, semble durable.
Et aussi...
- Quelques semaines après avoir bénéficié d’un financement de la banque de développement néerlandaise FMO (dont le montant n’a pas été dévoilé), le fournisseur de systèmes solaires domestiques Lumos Global, basé près d'Amsterdam, vient d’obtenir 30M€ (35M$) de l'U.S. International Development Finance Corporation (DFC). Le premier investissement avait pour objectif de financer la diffusion des kits solaires en Côte d’Ivoire, tandis que le second vise le Nigeria.
- Le méga projet pétrolier mené en Afrique de l’Est par le géant des hydrocarbures Total et son partenaire chinois CNOOC fait polémique. Un tout récent rapport de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) et de l’ONG Oxfa en dénonce les graves risques humains (quelque 12 000 familles menacées d’expropriation) et écologiques (destruction des écosystèmes sensibles). Les auteurs du rapport appellent à l’annulation pure et simple de ce projet d’exploitation de gisements découverts en 2006 en Ouganda dans la région du lac Albert (relire bulletin #89).
- La start-up captonienne DataProphet, spécialisée en intelligence artificielle au profit des industriels, lève 5 M€ (6 M$) lors d’un tour de table mené par le VC sud-africain Knife Capital, avec la participation de l’Industrial Development Corporation (Afrique du Sud) et de l’industriel danois Norican Group.
- La compagnie d’énergie solaire Easy Solar, basée en Sierra Leone et au Liberia, boucle un tour de série A de 2,5 M€ (3 M$) auprès du fonds d’impact américain Acumen et de la banque de développement néerlandaise FMO. Cet apport vient s’ajouter à la facilité de 1,7 M€ (2 M$) levée sur la plateforme suédoise de financement participatif Trine.
- À l’issue de plus d’un an de négociations, l’État ivoirien reconduit le contrat de concession de production, de distribution, de transport, d’exportation de l’électricité du groupe de la Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE), filiale du groupe français Eranove, contrôlé par le fonds d’investissements Emerging Capital Partners (ECP). En contrepartie du renouvellement de son monopole, le champion de l’eau et de l’électricité panafricain devra entre autres favoriser les entreprises locales pour ses approvisionnements.
- En Côte d’Ivoire, la fintech parisienne Bizao, qui propose une plateforme facilitant l'acceptation des paiements mobiles en Afrique, s’allie avec l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB), en vue de la création d’une chaire dédiée à la fintech. Visant à développer l’enseignement et la recherche en Afrique autour de ce secteur porteur, la chaire contribuera à la formation de talents panafricains et à l’éducation du grand public sur les principaux enjeux auxquels font face les acteurs dans la sous-région et le reste du continent.
- Orange lance sa plateforme de formation en ligne « Orange Campus Africa », en partenariat avec l’Université Virtuelle du Sénégal (UVS). Englobant des contenus émanant de différents partenaires de renoms dans l’éducation et la formation, elle permettra l’adaptation des formations aux contextes locaux, tout en assurant l’optimisation des accès depuis les smartphones et le paiement mobile en monnaie locale pour des services additionnels (tutorat ou certification par exemple).
- La Banque Africaine de Développement (BAD) intègre le conseil d’administration du Forum mondial sur l’investissement des « Business Angels » (WBAF) pour représenter les marchés boursiers en démarrage, les écosystèmes d’entrepreneuriat et de start-up, les PME et les entreprises à forte croissance ainsi que les « investisseurs providentiels » et les fonds de capital-investissement en Afrique.
Bonne fin de semaine et à mardi prochain.
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