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Afrique #149 : Andela, DPI, ManoCap Energy, MultiChoice, Africa50...


| 2950 mots
© Andela

© Andela

Logiciel & services aux entreprises : Andela / SoftBank / (États-Unis / Nigeria / Afrique / Japon / Royaume-Uni )

Nouvelle levée de fonds pour la start-up américaine Andela, qui recrute, forme et place des développeurs de logiciels africains auprès d’entreprises technologiques à l’international. Avec 171 M€ (200 M$), il s’agit de la plus importante mobilisation de fonds depuis sa création à Lagos en 2014. Ce tour de table de série E qui valorise l’entreprise près de 1,3 Md€ (1,5 Md$) a été mené par la holding japonaise SoftBank (Softbank Vision Fund 2), avec la participation d’un nouvel investisseur, le bostonais Whale Rock, et d’investisseurs historiques, à savoir le londonien Generation Investment Management et les californiens Chan Zuckerberg Initiative et Spark Capital. Lydia Jett, associée fondatrice de SoftBank Investment Advisers faisant partie des investisseurs les plus renommés au monde dans le domaine de la technologie grand public, rejoindra le conseil d’administration d’Andela. Favorisé par un contexte d’extension massive du télétravail, le réseau mondial d’ingénieurs logiciels à distance, qui revendique un taux de placement réussi de 96 %, emploie actuellement quelque 300 employés répartis dans le monde entier, issus de plus de 80 pays et de six continents. À ses débuts, Andela a entrepris de former des développeurs juniors dans plusieurs villes africaines pour ensuite les placer dans des entreprises en démarrage aux États-Unis. En dépit d’un changement de stratégie en 2019, qui a vu le licenciement de près de 400 ingénieurs codeurs juniors au Kenya, au Nigeria et en Ouganda, la licorne affirme avoir placé « des milliers d’ingénieurs dans des entreprises technologiques de premier plan », telles que Github, Cloudflare et ViacomCBS. Grâce à cette levée de fonds, elle prévoit d’en recruter de plus expérimentés et de les placer dans plus de cent pays, d’ici la fin de l’année en cours. Elle  investira par ailleurs dans le développement de produits destinés à simplifier le recrutement à l’échelle mondiale et à faciliter la vie des ingénieurs, tout en continuant à inclure - dans sa ligne de mire de recrutement de talents - de nouveaux secteurs au-delà du développement de logiciels, tels que la conception et les données. C’est au total 325 M€ (380 M$) que la pépite dirigée et co-fondée par Jeremy Johnson est parvenue à réunir. Elle avait notamment mobilisé, en janvier 2019, 87,4 M€ (100 M$) auprès d’un consortium de fonds d’investissement (relire bulletin #36).

 

Nouveau fonds : Fonds African Development Partners III / DPI (Afrique / Royaume-Uni / International)

© Runa Alam, DPI

© Runa Alam, DPI

Le britannique Development Partners International (DPI) entre dans le cercle restreint des plus grands fonds dédiés à l’investissement de capitaux mondiaux en Afrique, avec le closing à 776 M€ (900 M$) de son Fonds African Development Partners III (ADP III), au-dessus de son objectif de 690 M€ (800 M$). S’y ajoutent 216 M€ (250 M$) de capital de co-investissement dédié, soit un total de 992 M€ (1,15 Md$) pour ce véhicule ciblant des entreprises bien établies et en pleine expansion, opérant dans des secteurs qui profitent de la croissance rapide de la classe moyenne africaine et de la transformation digitale du continent. Tous les investissements devront répondre aux normes les plus élevées en matière d’impact et de respect des normes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). ADP III est ainsi le premier fonds africain signataire des Principes Opérationnels de Gestion de l’Impact (« Principes d’impact »), une norme internationale pour l’investissement à impact, et le premier fonds à se voir accorder le statut de 2x Flagship Fund, dans le cadre du 2x Challenge, une initiative en faveur de l’égalité femmes-hommes. Issus d’une vingtaine de pays sur les continents nord-américain, européen, africain et au Moyen-Orient, de nombreux fonds de pension et fonds souverains de premier plan, d’institutions de financement du développement, de fonds de dotation et de fondations, de compagnies d’assurance, de fonds de fonds, de gestionnaires d’actifs et d’investisseurs d’impact ont participé à la collecte, dont vingt-cinq pour la première fois. PJT Park Hill et Debevoise & Plimpton ont respectivement agi en tant que conseiller et agent de placement et conseiller juridique pour le véhicule.

ADP III a d’ores et déjà pris des tickets dans quatre sociétés à ce jour : Channel VAS (un leader mondial de la fintech basé à Dubaï et fournissant des services bancaires mobiles), SICAM (leader tunisien de la transformation de tomates), Kelix Bio (une plateforme biopharmaceutique dubaïote élargissant l’accès aux médicaments génériques de spécialité en Afrique) et MNT-Halan (une fintech égyptienne proposant des solutions de paiements numériques et des micro-crédits aux populations non bancarisées). Le fonds dirigé et co-fondé par Runa Alam revendique un outre pour son troisième véhicule un important pipeline d’opportunités sur le continent, que ce soit en matière de services financiers, de santé, d’agro-industrie, d’éducation ou encore d’s infrastructures digitales et de télécommunications.

 

Infrastructures & EnR : ManoCap Energy / Eiffel Investment Group / ManoCap / Energy Access Ventures (Ghana / Sierra Leone / France)

© ManoCap Energy

© ManoCap Energy

Fort de près de 4 Md€ d’actifs sous gestion, l’asset manager tricolore Eiffel Investment Group - spécialiste de la transition énergétique et de la décarbonation de l’économie - est bien déterminé à marquer son empreinte dans le secteur de l’électricité en Afrique. En témoigne le financement relais de 3 M€ octroyé à ManoCap Energy afin de soutenir plusieurs projets commerciaux et industriels (C&I) en cours au Ghana et en Sierra Leone, des pays affectés par l'instabilité du réseau et le coût élevé de l'électricité, ce qui impacte défavorablement leur développement économique et industriel (voir la fiche opération avec les conseils sur CFNEWS INFRA). Cet apport contribuera à aider des entreprises locales à accéder à une source d'électricité fiable, abordable, rentable et à impact environnemental réduit. Telle est la vocation de ManoCap Energy, une entité lancée par la firme d’investissement et de conseil sierraléonaise ManoCap et Energy Access Ventures (EAV), un investisseur early stage géré par le fonds français Aster Capital. Les projets qu’elle finance et gère pour ses clients fournissent une énergie comprise entre 150 kilo watt-crête (ou Watt-peak - Wc ou Wp) et 10 MWc. Grâce aux 3 M€ obtenus, ManoCap Energy sera en mesure de financer les dépenses de construction d'une dizaine de projets photovoltaïques, en attendant le financement à long terme qui sera assuré lorsque le portefeuille complet de projets sera en service. Thomas Cairnes, P-dg de ManoCap Energy, a précisé : « Nous sommes extrêmement enthousiastes à l'idée de notre nouveau partenariat avec Eiffel. Le financement qu'il nous accorde nous permettra d'exécuter notre pipeline à court terme de projets solaires C&I au Ghana et en Sierra Leone. Il nous permet de disposer d'un financement flexible qui continuera à soutenir notre croissance à long terme. »

 

Médias & Divertissement : MultiChoice / Canal + (Afrique du Sud / France)

Plateformes de divertissement DStv, GOtv, Showmax and DStv Now de l'opérateur sud-africain MultiChoice, leader de la « pay TV » en Afrique. - © MultiChoice

Plateformes de divertissement DStv, GOtv, Showmax and DStv Now de l'opérateur sud-africain MultiChoice, leader de la « pay TV » en Afrique. - © MultiChoice

En un an, la chaîne télévisée française Canal+ a doublé son nombre d’actions au sein du capital de MultiChoice, opérateur africain numéro un de télévision payante, détrônant ainsi - avec désormais 15,37 % des actions - le Fonds de Pension sud-africain (PIC) de sa position de premier actionnaire (voir fiche opération sur CFNEWS). Ce dernier en détenait jusque-là 14,42 %. Entrée au capital en avril 2020, la filiale de Vivendi était successivement passée à 6,5 % puis 12 % de participation entre le 5 et le 29 octobre 2020 (relire bulletin #109). Conformément aux statuts du groupe, les actionnaires sud-africains conserveront 80 % des droits de vote au conseil d’administration. La société sud-africaine cotée à la bourse de Johannesbourg, valorisée plus de 2 Md€ (42 MdZAR) lors de son IPO en février 2019, revendique plus de 20 millions d’abonnés dans une cinquantaine de pays - autrement dit presque autant que Canal+ dans le monde. Plutôt que de chercher à concurrencer MultiChoice sur le marché anglophone du continent qu’il domine largement, le groupe français semble privilégier une relation de collaboration avec son confrère sud-africain sur différents marchés. Les propos tenus par David Mignot, directeur de Canal+ Afrique, lors d’une interview en 2019 semblent en attester : « Nous n’irons ni dans la zone lusophone ni dans la zone anglophone. Elles sont déjà bien couvertes. Une telle offensive se révélerait ruineuse pour des marchés déjà pénétrés pour certains à 80 % ».

 

Banques & Services financiers : Crédit du Maroc / Holmarcom / Crédit Agricole

© Crédit du Maroc

© Crédit du Maroc

Séisme en vue dans le paysage bancaire et financier marocain ? Le groupe français Crédit Agricole envisage de céder sa participation majoritaire de 78,69 % dans sa filiale Crédit du Maroc, une banque commerciale cotée à la Bourse de Casablanca, au groupe marocain Holmarcom. Les discussions en sont actuellement à un stade préliminaire, sans certitude d’aboutissement. En juillet 2019, le potentiel futur acquéreur avait entrepris une réorganisation stratégique de son pôle finance, afin d'accompagner le développement de ses activités aussi bien au Maroc qu'à l'échelle du continent, en particulier dans le secteur des assurances. C'est dans ce cadre que le groupe détenu par la famille Bensalah (propriétaire d'AtlantaSanad) s'intéresse aux opportunités d'investissement susceptibles de créer de la valeur et contribuer à accélérer la croissance de ses activités.

 

Fonds : BluePeak Private Capital Fund SCSp / BluePeak Private Capital / CDC Group / BEI (Afrique / Tunisie / Royaume-Uni / Europe)

© Blue Peak Private Capital

© Blue Peak Private Capital

Deux ans après son lancement, le gestionnaire de fonds de dette privée et mezzanine BluePeak Private Capital, basé à Tunisie, Nairobi et Lagos, réalise le premier closing à 98 M€ (115 M$) de son véhicule BluePeak Private Capital Fund SCSp. Ce dernier vise à fournir des solutions de financement flexibles (et moins dilutives que le private equity traditionnel) aux PME / ETI qui génèrent des revenus compris entre 8,5 et 63 M€ (10 et 80 M$), et opèrent dans des secteurs à forte valeur ajoutée en Afrique. Ciblant une taille finale de 171 M€ (200 M$), voire 214 M€ (250 M$) pour son hard cap, le véhicule a su convaincre de nombreux investisseurs axés sur le continent africain, dont le britannique CDC Group et la Banque Européenne d’Investissement (BEI).

 

Nouveau fonds - Infrastructures énergétiques : Afrigreen Debt Impact Fund / RGreen Invest (Afrique subsaharienne / France)

Comme évoqué dans le bulletin #146, RGreen Invest vient de lancer son tout premier fonds de dette senior intégralement dédié à l’Afrique. D'une taille cible de 100 M€, Afrigreen Debt Impact Fund a vocation à financer les actifs photovoltaïques du Nigeria, de Côte d'Ivoire, du Sénégal, du Ghana, du Mali et du Cameroun. Ayant déjà recueilli 25 M€ auprès de la Banque Européenne d'Investissement (BEI), il permettra d’accompagner les PME / ETI africaines dans la réduction de leur facture énergétique et leur dépendance au diesel, tout en accélérant la transition énergétique sur le continent via le photovoltaïque. Le premier closing devrait avoir lieu fin janvier 2022. Parallèlement, la société de gestion créée par Nicolas Rochon s’associe à Alexandre Gilles et Olivier Leruste - spécialistes des projets d’EnR dans les pays émergents et fondateurs d’Echosys Advisory - pour créer une entité dédiée, Echosys Invest, destinée à conseiller le fonds lors de ses investissements. Cette société de conseil en cours de création, spécialisée dans la transition énergétique en Afrique, sera détenue à 50/50 par RGreen Invest et Echosys Advisory.

 

Nomination - Nouveau fonds :  Africa50 Infrastructure Acceleration Fund / Africa50 / Alterra Capital Partners (Maroc / Afrique du Sud / Afrique)

Vincent Le Guennou, Africa50

Vincent Le Guennou, Africa50

Bouleversements en vue au sein des grands fonds d’investissement axés sur l’Afrique. Plusieurs membres de l’équipe de direction d’Emerging Capital Partners (ECP) viennent de quitter la société de gestion américaine pour rejoindre deux autres fonds. Vincent Le Guennou, l’un des associés co-fondateurs et co-Pdg d’ECP depuis 2010, qui pilotait le bureau parisien, intègre ainsi Africa50, une plateforme d’investissement panafricaine créée en 2014 par les chefs d’États africains et la Banque Africaine de Développement (BAD), et qui se dédie aux projets d’infrastructures à fort impact en termes de développement. L’expert du capital-investissement mettra son expérience au profit d’un véhicule en cours de création, l’Africa50 Infrastructure Acceleration Fund. Objectif de ce dernier : stimuler les investissements institutionnels et privés dans les infrastructures africaines. Le nouveau véhicule espère réunir à terme une enveloppe de plus de 430 M€ (500 M$). Vincent Le Guennou réunira autour de lui toute une équipe d’experts du continent, basée dans un premier temps à Casablanca.

Bryce Fort et Paul Maasdorp, Alterra Capital Partners

Bryce Fort et Paul Maasdorp, Alterra Capital Partners

Parallèlement, ses anciens collègues Bryce Fort et Paul Maasdorp, associés d’ECP au Kenya, lancent un nouveau véhicule d’investissement africain au sein d’Alterra Capital Partners, une firme de private equity basée à Johannesbourg et Lagos qui s'est détachée de Carlyle en 2020. Celle-ci a investi à ce jour environ 1,7 Md€ (2 Md$) sur le continent, dans des secteurs aussi divers que les télécommunications, la technologie, les soins de santé, la consommation et la vente au détail, les infrastructures, les services financiers, la logistique ou encore les services aux entreprises. Bryce Fort et Paul Maasdorp collaborait déjà avec Alterra depuis une décennie.

 

Fonds : Adiwale Fund I / Adiwale Partners / SFI (Afrique de l’Ouest / Côte d’Ivoire / Sénégal / Mali / Burkina Faso / International)

Jean-Marc Savi de Tové et Vissého Gnassounou, Adiwale Partners

Jean-Marc Savi de Tové et Vissého Gnassounou, Adiwale Partners

La société de capital-investissement ivoirienne Adiwale Partners, axée sur les entreprises de taille moyenne en Afrique de l’Ouest, vient de boucler son premier véhicule Adiwale Fund I (AF1) à 60 M€ (39,3 MdXOF) en accueillant la Société Financière Internationale (SFI) en tant que dernier investisseur. En raison d’un contexte de levée de fonds très difficile, amplifié par la pandémie, la firme co-fondée en 2016 par les togolais Jean-Marc Savi de Tové et Vissého Gnassounou (deux anciens associés de Cauris Investment Management) n’a pas réussi à atteindre les 75 M€ espérés. Ciblant quatre pays mal desservis par le marché du capital-investissement, à savoir la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Mali et le Burkina Faso, AF1 investira en minoritaire entre 3 et 8 M€ dans des PME bien implantées sur leurs marchés et capables de croître rapidement. Une société ivoirienne d’installation et de maintenance de solutions de climatisation industrielle et commerciale a rejoint son portefeuille en juin dernier. Il privilégiera les secteurs des produits et services de grande consommation, des services aux entreprises (transport et logistique, TIC, services à la construction), la santé, l’éducation et l’industrie (chimique, pharmaceutique…).

 

 

Et aussi...

  • Née au Nigeria en 2016, la plateforme atlantaise d’échange de cryptomonnaies Yellow Card lève 12,8 M€ (15 M$) en série A pour soutenir son expansion en Afrique, où elle dessert actuellement douze pays. Les américains Valar Ventures, Third Prime et Castle Island Ventures ont mené le tour de table, aux côtés de Blockchain.com Ventures, Coinbase Ventures, Polychain Capital, BlockFi, Fabric Ventures et Square Inc.
  • Au Sénégal, un projet gouvernemental d'envergure baptisé Smart Diamniadio vient d’être lancé, avec pour ambition de s'agit de construire la plus grande ville nouvelle d'Afrique subsaharienne pour décongestionner Dakar tout en stimulant la croissance économique sénégalaise. Ce modèle de ville intelligente et durable, qui s’appuie sur les TIC, sera largement porté par le privé. C’est ainsi qu’a été retenu comme chef de file, dans le cadre d'un financement FASEP par l'État français, le cabinet de conseil  stratégique et d’assistance à maîtrise d’ouvrage Tactis, leader en France pour les projets d’infrastructures numériques partagées, d’aménagement numérique des territoires et les projets de smartcity / smart territoires.
  • Proparco (filiale de l'AFD) et sa consœur allemande DEG accordent un prêt de 25 M€ à la BCP Bank Mauritius, filiale mauricienne du groupe marocain Banque Centrale Populaire (BCP), afin de l’accompagner dans son développement sur le continent, dans le cadre de sa nouvelle stratégie panafricaine.
  • Le Fonds vert pour le climat (FVC), l’Union européenne (UE) et la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) débloquent 50 M€ de prêts au Crédit immobilier et hôtelier (CIH Bank) et à Bank of Africa, une filiale du groupe marocain BMCE, deux banques commerciales qui accorderont ensuite des prêts secondaires aux citoyens, aux entreprises, ainsi qu’aux PME pour soutenir leurs projets d’adaptation au changement climatique. Parallèlement, la BERD et l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Énergies Nouvelles (IRESEN) renforcent leur coopération dans l'optique de promouvoir les investissements visant à accélérer la transition verte au Maroc.
  • Conseillé par Gide, le groupe hôtelier français Centaurus s’apprête à ouvrir une école hôtelière et trois établissements sous sa marque Maison Albar Hotels en Côte d’Ivoire.
  • Le groupe tricolore CFAO prend pied au Mozambique, et devient le distributeur exclusif des marques Toyota et Hino, en remplacement du groupe portugais Entreposta.

 

Bonne fin de semaine et à mardi prochain !

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