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- Fonds -

Maroc : Amethis gère un nouveau fonds

Amethis devient la nouvelle société de gestion mandatée pour gérer le fonds Capital North Africa Venture II (CNAV II). Lancé en 2012 par Capital Invest, et doté de 75 M€, il a déjà constitué un portefeuille de sept sociétés en Afrique du Nord. Dédié au continent africain, le gérant français Amethis, fondé en 2012 par Luc Rigouzzo et Laurent Demey - anciens dirigeants de Proparco - en partenariat avec Edmond de Rothschild Private Equity, dispose de près de 600 M€ sous gestion. Depuis le début de l’année, le véhicule, renommé Amethis Maghreb Fund I (AMFI), a réalisé ses deux premiers investissements au Maroc. Le premier dans Groupe Premium, spécialiste de la distribution de biens d’équipements pour les secteurs de l’industrie, du transport, des mines, du BTP et de l’agriculture et le second chez CFG Bank, banque universelle multi-canal développant une offre innovante (voir aussi le bulletin Afrique du 11 mai ). Avec cette reprise, le gestionnaire confirme son intérêt pour l’Afrique du Nord. Il vient d'y installer un bureau à Casablanca, avec une équipe composée de deux directeurs d’investissements (Wilfried Poyet et un deuxième en cours de recrutement) ainsi que d'un chargé d’affaires senior (Abel Rossignol).

Panafrique : la Fondation Rockefeller lance un nouveau fonds fiduciaire

Rockefeller Trust Fund (Fonds fiduciaire Rockefeller) est le nom du nouveau fonds que vient de lancer la Fondation Rockefeller au profit de la Banque africaine de développement (BAD) pour contribuer à propulser la transformation socio-économique de l’Afrique. Doté de 2,6 M€, ce fonds constitue pour la BAD sa deuxième collaboration officielle avec une fondation internationale caritative, après celle du Fonds fiduciaire Bill et Melinda Gates

en mars 2015. Il appuiera dans un premier temps les activités de la banque dans deux de ses cinq sphères de développement stratégiques (High 5) : la stimulation de l’agriculture et l’emploi des jeunes en Afrique. Dans le cadre de la priorité « Nourrir l’Afrique », le fonds soutiendra la Plateforme Leadership pour l’Agriculture (L4Ag), un réseau de ministres africains des finances et de l’agriculture créé par la fondation Rockefeller. Dans le cadre de la priorité « Améliorer la qualité de vie des populations en Afrique », il financera un programme visant à accroître l’emploi et l’entrepreneuriat inclusifs parmi les jeunes en Afrique. Pour rappel, la Fondation Rockefeller œuvre à la promotion du « bien-être de l'humanité dans le monde » depuis 1913.

Afrique du Sud : 1er closing pour Ashburton Mezzanine Fund

Ashburton Investments, branche de gestion d’investissements et d’actifs de la banque sud-africaine FirstRand, réalise un premier closing de son fonds Ashburton Mezzanine Fund I, levant 34,4 M€ auprès de quatre investisseurs restés confidentiels. Ce fonds, investissant entre 5 et 10 M€, et visant un rendement d'environ 20 %, espère réunir 68 M€. Les ressources mobilisées seront investies en Afrique australe, dont 20 % dans des firmes au Botswana, en Namibie et en Zambie. Selon Ashley Benatar, son responsable, il privilégiera « des sociétés de taille moyenne et des grandes entreprises qui en plus d’être rentables ont des équipes de gestion expérimentées ». Une première transaction serait bien avancée. Fondée en 1998, la banque basée à Johannesbourg et cotée à la fois sur le JSE et le NSX, gère 79,5 Md€ d’actifs et emploie près de 45 000 personnes. Sa filiale Ashburton Investments, créée en 1982, dispose quant à elle de 9,4 Md€ d’actifs sous gestion en 2017, avec des bureaux en Afrique du Sud, au Royaume-Uni, dans les îles anglo-normandes et aux Émirats Arabes Unis.

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- Les Deals -

Services financiers

Nigéria : Lidya séduit un consortium international

Lidya, plateforme de services financiers numériques fondée au Nigéria en 2016 par Tunde Kehinde et Ercin Eksin (photos ci-contre), lève 5,9 M€ auprès d’un consortium d’investisseurs. L’opération est l’une des plus importantes de l’histoire de la tech nigériane. Pour la jeune pousse qui a déjà accordé plus de 1 500 prêts en deux ans à des TPE / PME en Afrique - dans des secteurs aussi divers que l’agriculture, l’hôtellerie, la logistique, l’immobilier ou encore la santé - il s’agit d’accroître son portefeuille de prêts, d’étendre ses activités au Nigéria et de pénétrer de nouveaux marchés sur le reste du continent. Le financement permettra aussi de recruter des spécialistes des données et des ingénieurs professionnels. Le tour de table a été mené par Omidyar Network, un réseau philanthropique de la Silicon Valley créé en 2004 par Pierre Omidyar, fondateur d’eBay, afin d’accroître la portée des investissements de la fondation Omidyar en soutenant des projets, entreprises et initiatives publiques favorisant l’auto-habilitation. Omidyar Network a investi plus de 854 M€ dans des secteurs clés tels que l’inclusion financière, l’éducation ou les technologies émergentes. D’autres sociétés de capital-risque ont participé à cette levée de fonds de série A, dont Alitheia Capital, un VC basé à Lagos cherchant à répondre de manière durable aux besoins de la classe ouvrière, co-gérant d’Umunthu, un fonds de 100 M€ qui soutient les entreprises à forte croissance et axées sur le numérique en Afrique de subsaharienne. Le singapourien Bamboo Capital Partners et l’américain Tekton Ventures ont également rejoint le tour, qui comprenait déjà les investisseurs historiques Accion Venture Lab et Newid Capital ; ces derniers avaient participé à une levée d’amorçage en mars 2017 aux côtés du kényan Savannah Fund.

Nigéria : Piggybank.ng achève son amorçage

La plateforme nigériane Piggybank.ng qui offre des plans d'épargne en ligne à des personnes à faible revenu, lève 940 K€ auprès de trois investisseurs : LeadPath Nigeria (854 M€), le fonds local Ventures Platform et le VC américain Village Capital (pour le solde). Fondée en 2016, la start-up génère des rendements pour les petits épargnants en investissant dans obligations et des bons du Trésor du gouvernement nigérian. Elle revendique actuellement 53 000 utilisateurs enregistrés, qui ont économisé environ 4,3 M€ en deux ans d’existence. Les clients bénéficient de taux d’intérêt de 6 à 10 %. Ce tour d’amorçage est destiné à augmenter le nombre de clients parmi les jeunes Nigérians et les groupes d'épargne informels du pays. Il permettra de financer l’acquisition de licences bancaires de micro-finance, le développement de produits et la mise en place d’une campagne de marketing. A terme, la pépite nigériane ambitionne de devenir la plateforme holistique numérique où d'autres fournisseurs financiers pourraient proposer leurs services à ses utilisateurs. Elle a également l’intention de se lancer dans d’autres pays africains comme le Kenya. Le principal investisseur, LeadPath Nigeria, fondé et dirigé par Olumide Soyombo, est spécialisé dans le financement d’amorçage des PME technologiques à forte croissance. Ses tickets varient entre 21 000 € et 85 000 € pour des financements d’amorçage, et plusieurs millions d’euros pour des séries A.

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Infrastructures

Angola : Total co-investit dans un projet pétrolier

Le géant français Total, fort d’un chiffre d’affaires de 144,8 Md€ en 2017, lance avec des partenaires un nouveau projet pétrolier au large de l’Angola, avec lequel il vient de signer une série d’accords. L’investissement de plus d’1 Md€ concerne le développement du projet Zinia 2 en offshore profond, situé dans le bloc 17. Le groupe pétrolier et gazier s’est engagé à hauteur de 40 % aux côtés du norvégien Equinor (23,33 %), de l’américain ExxonMobil (20 %) et du britannique BP (16,67 %). De taille trop petite pour être exploité individuellement, le champ Zinia 2 sera raccordé sur une infrastructure existante : sa capacité de production de 40 000 barils par jour permettra de soutenir celle du champ de Pazflor, démarré en 2011. Le P-dg de Total, Patrick Pouyanné, a par ailleurs signé la semaine dernière à Paris une série d’accords avec Carlos Saturnino, président de la compagnie nationale Sonangol, concessionnaire du permis. Ces accords prévoient notamment un partenariat à 50/50 entre les deux sociétés pour mener l’exploration sur le bloc 48 dans les eaux ultra profondes de l’Angola, ainsi que la création d’une JV pour développer un réseau de stations-service dans le pays. La signature a eu lieu en marge de la visite officielle en France du nouveau président angolais, João Lourenço.

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Électronique & informatique

Pays émergents : CityTaps irrigue sa croissance

CityTaps, start-up sociale fondée en 2015 par le franco-américain Grégoire Landel(cf photo), expert du lien eau / finance dans les pays en développement, lance une levée de fonds sur la plateforme de financement participatif Sowefund. L’objectif est de mobiliser 1,5 M€ afin de faciliter l’accès à l’eau courante dans le monde. Présente

essentiellement en Afrique, la pépite sévrienne (92) a développé dans

cette optique un compteur d’eau intelligent, à micropaiements, relié à un logiciel de gestion et de facturation. Destiné aux opérateurs d’eau des pays en voie de développement, ce compteur dresse un pont entre eux et le milliard d’urbains n’ayant pas accès à l’eau potable. La technologie CTSuite de CityTaps permet de remédier aux deux principaux obstacles de l’accès à l’eau : l’absence de raccordement des foyers aux réseaux existants et l’incapacité des usagers d’honorer les factures mensuelles. Cette solution qui participe pleinement au concept des Smart Cities a déjà été installée à Niamey (135 foyers) et devrait être adoptée par un certain nombre d’opérateurs d’eau en Afrique, Asie et Amérique Latine. Veolia, partenaire industriel du déploiement de la solution au Niger, souhaite notamment acquérir 15 000 compteurs en 2019. CityTaps espère couvrir plus 2 millions de personnes d’ici fin 2022. Les fonds collectés permettront de structurer son équipe commerciale et de mettre en place une stratégie de R&D afin de réduire les coûts de production. A ce jour, l’entreprise s’est financée à hauteur de 1,75 M€ grâce à des capitaux initiaux, des subventions et prix, un premier tour de table de 420 K€ auquel a participé le fondateur et une ligne de crédit au Crédit Mutuel. Par la suite, l’entreprise envisage de réaliser une levée de fonds supplémentaire de 2,5 à 3 M€, afin d’améliorer son processus d’industrialisation et d’atteindre la rentabilité d’ici fin 2021.

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- Bourse -

Ghana : MTN réalise la première IPO via un porte-monnaie mobile

La filiale ghanéenne du groupe de télécoms sud-africain MTN est en passe de marquer doublement l’histoire boursière du pays : d’une part il s’agit de l’IPO la plus importante jamais réalisée au Ghana, avec un montant évalué à plus de 636 M€, et d’autre part parce que les investisseurs peuvent souscrire à l’offre des titres par Mobile Money, le service de porte-monnaie électronique de l'opérateur. Cette ouverture de l’offre publique initiale aux détenteurs de comptes Mobile Money (17,5 millions d'abonnés fin 2017) permet de pallier au manque de liquidité présumé du marché financier ghanéen. Ce sont 4,6 milliards d'actions représentant 35 % de son capital que MTN Ghana offre sur le marché financier local, à 14 € l’action environ. Plus de la moitié des titres sont une augmentation de capital, le reste constituant la cession d'actions par des actionnaires actuels. Les souscriptions ont débuté le 29 mai dernier et devraient se poursuivre jusqu'au 31 juillet, avec une probable introduction sur le GSE en septembre. MTN Ghana fait partie des filiales ayant contribué positivement à la croissance du groupe en 2017, dont le chiffre d’affaires a augmenté de 7,2 % pour atteindre 8,5 Md€ (à relire également : l'IPO de MTN Nigeria dans le bulletin Hebdo Afrique du 2 mai dernier).

Kenya : Bank of Kigali envisage une cotation secondaire

Déjà cotée à la Bourse du Rwanda depuis 2011, Bank Of Kigali vient d’obtenir l’accord de son conseil d’administration présidé par Marc Holtzman pour une cotation à la Nairobi Stock Exchange (NSE), dans le cadre d’un plan de levée de fonds de 60 M€. L’IPO est prévue pour le deuxième semestre de l’année. Si la solution d’une ouverture du capital par le marché plutôt que par cession majoritaire à un partenaire bancaire a été privilégiée, des discussions sont toujours en cours pour céder 30 % du capital à l’assureur mauricien Swan, leader dans son pays. Fondé il y a 51 ans, Bank of Kigali constitue la première banque rwandaise en termes d’actifs. Son DG Diane Karusisi (photo), a précisé qu’entre 8,6 et 17,1 M€ des fonds qui seront collectés devraient être investis dans des plateformes technologiques permettant l’octroi de prêts via le téléphone mobile ainsi que dans l’activité d’assurances.

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- Nominations -

Afrique centrale : Célestin Tawamba élu à la tête de l'Union des patronats

Le Camerounais Célestin Tawamba (photo), président du Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam), a été élu à la tête de l’Union des patronats d’Afrique centrale (Unipace) pour un mandat de deux ans. Ont également été élus le le vice-président de l’Unipace, Laurence Nassif, président du Groupement interprofessionnel de Centrafrique (Gica), et le secrétaire exécutif de l’Union, Alain Blaise Batongue, par ailleurs secrétaire exécutif du Gicam. Créé en 1997, l’Unipace a pour mission principale de mobiliser et d’accompagner le secteur privé de la sous-région pour la concrétisation de l’intégration de l'Afrique centrale. Il vise également à améliorer l’environnement global des affaires de la sous-région.

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- Événements -

« Mission Smart Energy Côte d’Ivoire » à Abidjan (5-8 juin)

Bpifranceet Société Générale- en partenariat avec Business France - accompagnent neuf PME / ETI françaises de pointe, actives dans le domaine de la « Smart Energy », à la conquête du marché ivoirien. Les lauréates entament ce mardi quatre jours de coaching et rendez-vous sur mesure avec des partenaires potentiels en Côte d’Ivoire. La mission organisée par les deux banques françaises doit permettre aux participants de mieux comprendre les besoins du marché, notamment en termes de défis environnementaux, dans l’optique de signer à terme des contrats commerciaux avec des acteurs locaux.

Forum des diasporas africaines à Paris (22 juin)

Le forum des diasporas africaines se tiendra le vendredi 22 juin au Palais des Congrès de Paris, sous le patronage d’Emmanuel Macron. Piloté par l’Institut de Prospective Économique du Monde Méditerranéen (IPEMED), think tank euroméditerranéen, l’événement est dédié aux rencontres et au partage d’expériences entre membres des diasporas et décideurs économiques et politiques. Parmi les tables rondes, l’une sera consacrée aux initiatives existantes pour faciliter l’implication des diasporas en Afrique, et une autre aux nouveaux outils de financement pour les projets de développement. Lien vers le formulaire d’inscription.

Première session annuelle des « Diaspora Business Meeting » à Paris (24 juin)

Le 24 juin prochain à l’Assemblée Nationale aura lieu la première session annuelle des Diaspora Business Meeting, qui verra le lancement officiel du septième Programme Diaspora Angels Investors. Co-organisé par la plateforme financière ivoirienne EIC Corporation et le Centre d'Études Prospectives et Stratégiques (CEPS), l’événement est placé sous le parrainage de Sylla Sira, députée de Seine-Maritime d’origine sénégalaise (portrait ci-contre). Le programme a pour objectif de faire de la diaspora le premier bailleur de fonds en Afrique, et d’accompagner les acteurs dans leur démarche d’investissement sur le continent.

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Et aussi...

• Le dernier rapport d’Allan & Associates, cabinet-conseil en politique et gestion des risques, souligne les risques d’investissement à Djibouti. Cet Etat, qui souhaite devenir le centre de transbordement de la Corne d’Afrique, peut se prévaloir de la stabilité politique et de la paix conquises depuis des décennies. Toutefois, si l’environnement est attractif pour les investisseurs, l’évaluation d’Allan & Associates recense un certain nombre de facteurs invitant à la prudence. Parmi eux, la corruption croissante, la dépendance excessive par rapport à l’Éthiopie voisine, la propension à une tendance protectionnisme mondiale ou encore les conflits dans les pays du Golfe.
• Société Générale Maroc devient directement majoritaire dans Eqdom, sa participation passant de 35 % à 53,7 % du capital de la société de financement. Cette réorganisation dans l'actionnariat d'Eqdom fait suite à une transaction effectuée sur le marché des blocs. Le volume de la transaction s'élève à plus de 17 M€.
• Tempo Housing Nigeria, qui développe des logements et espaces de travail préfabriqués, a cédé 20 % de son capital à la société d'investissement nigériane Àrgentil Capital Partners, spécialisée dans le financement des infrastructures.
• Le sud-africain Standard Bank accroît sa participation de 11,35 % dans le capital de sa filiale nigériane, Stanbic Africa Holdings Ltd (SAHL), soit 1,14 milliard d’actions supplémentaires, ce qui porte à 64,6 % la part de SAHL.
• Le sud-africain Barclays Africa - qui bientôt sera rebrandée Absa Group - s'annonce sur le NSE où il interviendra en tant que courtier via sa filiale locale Absa Nigeria. L'opération s'inscrit dans une stratégie d'implantation dans un pays dont le marché financier a connu une progression de 42 % depuis le début de l'année.
• En Egypte, la holding étatique Company for Chemical Industries, s’apprête à céder une participation de 4 % dans sa filiale Eastern Tobacco Company sur le marché boursier local. L'opération s'inscrit dans le cadre d'un plan visant à introduire des entreprises publiques en Bourse pour lever des fonds et dynamiser l’Egyptian Exchange.
• Le marocain Richbond, en quête de relais de croissance sur le continent, acquiert 67 % de Silent Night Kenya (SNK), spécialisé en produits de literie, pour un montant de 1,1 M€ (coût total de 9,9 M€ après mise à niveau).
• Africa Ré, structure panafricaine de réassurance fondée en 1976, vient de céder de 8 % de son capital au géant allemand Allianz, pour un montant d'environ 59,2 M€.
• Claude Ayo-Iguendha, administrateur-directeur général de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie (BICIG), filiale de la Banque Nationale de Paris (BNP/ Paribas) est décédé à Libreville. Il a été l’un des patrons les plus expérimentés dans le milieu bancaire gabonais. Censé partir à la retraite en 2010, il a été maintenu à son poste en attendant la nomination de son successeur.
• Le réseau d'écoles panafricain Honoris United Universities vient de signer un partenariat avec l'ESCP Europe afin que ses étudiants puissent candidater aux programme de l'école de commerce française. Les étudiants porteurs de projets auront aussi accès à la Blue Factory, l'incubateur de start-up de l'ESCP.

Bonne fin de semaine et à mardi prochain.

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