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Afrique #71 : Atalex, Xaalys, Unitrans Motor, Janngo, Akdital...


| 2773 mots
Atalex accompagne le droit du numérique et l'innovation technologique en Afrique. - © Atalex

Atalex accompagne le droit du numérique et l'innovation technologique en Afrique. - © Atalex

Services juridiques - Droit du numérique : Atalex / Fidal (Togo / France)

Basé à Paris avec un bureau à Lomé (Togo), le cabinet d’avocats Atalex, dédié au droit des activités numériques et de la propriété intellectuelle, rejoint le giron du cabinet Fidal avec l’ambition de devenir un acteur incontournable du marché en matière de droit numérique. C’est à présent d’une douzaine d’avocats spécialisés sur ces questions dont dispose Fidal au sein de sa direction régionale parisienne, dirigée par Dominique Davodet. Fondé en 2018 par Arnaud Tessalonikos, Atalex accompagne et conseille les institutions publiques, les grands comptes, les TPE/PME, start-up et investisseurs dans leurs projets liés au numérique en Afrique (cloud computing, intelligence artificielle, blockchain, réalité virtuelle ou encore objets connectés). Le rapprochement entre les deux cabinets permettra de renforcer le réseau Afrique tissé par Fidal depuis quelques années, et de poursuivre son développement à l’international (voir fiche opération sur CFNEWS).

Internet & e-commerce - Services financiers : Xaalys / Bouygues Telecom Initiatives (France / Sénégal)

La franco-sénégalaise Diana Brondel a créé Xaalys pour accompagner les adolescents sur le chemin de l'autonomie financière. - © Xaalys

La franco-sénégalaise Diana Brondel a créé Xaalys pour accompagner les adolescents sur le chemin de l'autonomie financière. - © Xaalys

Le fonds corporate de l’opérateur Bouygues Telecom, Bouygues Telecom Initiatives, fête son dixième anniversaire avec un douzième investissement au profit de Xaalys, une start-up parisienne développée au Sénégal et dont le nom, Xaalys, signifie « argent » en wolof (la principale langue parlée dans ce pays). Créée en 2017 par Diana Brondel, la fintech se présente comme la première néobanque française destinée aux jeunes de douze à dix-sept ans. Comprenant treize collaborateurs (quatre à Paris et cinq à Dakar), elle a pour originalité de proposer aux adolescents une application d'éducation financière pour les familiariser avec la gestion de l’argent, et s’approprier le langage financier par des jeux ludiques. La banque digitale pour jeunes avait effectué une première augmentation de capital de 450 K€ en avril 2018 auprès de business angels chevronnés et de friends & family. Ce nouveau tour lui permettra de lancer une nouvelle version de son application début 2020. Sa présidente fondatrice souhaitait se rapprocher d’un opérateur téléphonique, la stratégie actuelle de ces sociétés consistant à devenir les plateformes multicanaux des familles en leur proposant d’autres services que le seul forfait mobile et l’abonnement internet. Le partenariat avec Xaalys permettra ainsi à Bouygues Telecom d’ajouter une brique supplémentaire à ses activités. Pour Bouygues Telecom Initiatives, cet investissement marque le début d’une troisième étape. S’étant d’abord positionné, lors de son lancement en 2009, en tant qu’incubateur et investisseur s’adaptant aux besoins de chaque jeune entreprise, le fonds corporate a fait ensuite évoluer sa stratégie, entrant à partir de 2015 dans une nouvelle phase, plus opérationnelle, consistant à créer de vraies synergies entre les start-up et les métiers de l’entreprise. Dorénavant, il s’ouvre également à des jeunes pousses qui portent des potentiels de rupture dans des activités au-delà du cœur de métier de Bouygues Telecom : Cybersécurité, Blockchain, Fintech, Assurtech (voir fiche de l’opération sur CFNEWS).

Distribution automobile : Unitrans Motors Group / CFAO / Kapela Holdings / Steinhoff (Afrique du Sud / France/)

L'une des concessions automobiles d'Unitrans Motors - © Unitrans Motors

L'une des concessions automobiles d'Unitrans Motors - © Unitrans Motors

Huit mois après l’ouverture de négociations exclusives (relire bulletin #45), le distributeur français axé sur l’Afrique CFAO vient de finaliser l’acquisition, auprès du conglomérat sud-africain Steinhoff, de 74,9 % du capital d'Unitrans Motor Group, l’un des principaux concessionnaires automobiles d’Afrique du Sud. Fort de près d’un siècle d’expérience et d’un chiffre d’affaires annuel de 1,5 Md€ réalisé avec plus de six mille collaborateurs, il exploite 99 points de ventes, représentant plus de dix constructeurs, tout en exerçant également des activités d'assurance et de location de voitures (voir fiche opération sur CFNEWS). Parallèlement, Steinhoff - propriétaire de l'enseigne Conforama, entre autres - cédera la participation de 25,1 % restante à Kapela Holdings, groupe d’investissement sud-africain répondant aux critères du dispositif BBBEE (Broad-Based Black Economic Empowerment), programme de discrimination positive mis en œuvre depuis 2007 par le gouvernement pour rectifier les inégalités créées par l'apartheid.

Fonds : Janngo Capital / BEI (Côte d'Ivoire / Afrique / Europe)

Après avoir fondé la filiale de Jumia en Côte d’Ivoire et pris les rênes de la première licorne africaine à Lagos au Nigeria, Fatoumata Bâ a fondé Janngo l'an dernier, qu'elle définit comme « une start-up qui en lance d’autres ». Ci-dessus, la dirigeante du start-up studio avec Emmanuel Macron lors de la première visite du président français au Sénégal en février 2018. - © Janngo

Après avoir fondé la filiale de Jumia en Côte d’Ivoire et pris les rênes de la première licorne africaine à Lagos au Nigeria, Fatoumata Bâ a fondé Janngo l'an dernier, qu'elle définit comme « une start-up qui en lance d’autres ». Ci-dessus, la dirigeante du start-up studio avec Emmanuel Macron lors de la première visite du président français au Sénégal en février 2018. - © Janngo

Janngo Capital (Janngo), premier start-up studio à impact social d'Afrique, basé à Abidjan et Paris, bénéficie d’un apport financier de 12,5 M€ de la Banque Européenne d’Investissement (BEI). Lancé en 2018 par l’entrepreneuse sénégalaise Fatoumata Bâ, le fonds souhaite lever au total 60 M€ pour accompagner vingt à vingt-cinq jeunes pousses africaines durant les dix prochaines années et les transformer en champions digitaux panafricains. Un nouvel investisseur devrait faire son entrée dans le capital début 2020. En mai 2018, Janngo avait réuni 1 M€ en phase d’amorçage auprès du fonds Clipperton (soutenu par Natixis), de la société d’import-export française Soeximex et d’un véhicule d’investissement appartenant à la famille des entrepreneurs Mulliez(lire bulletin du 29 mai). Janngo Capital soutiendra des PME et start-up ayant pour vocation de participer au développement socio-économique du continent, notamment en Afrique de l’Ouest, mais pas uniquement. Fatoumata Bâ souhaite par ailleurs consacrer la moitié des financements à des entités portées ou dirigées par les femmes.

Santé : Akdital / Mediterrania Capital Partners (Maroc / Espagne)

Acteur majeur de la santé privée au Maroc, Akdital prévoit d'ouvrir en 2020 un sixième établissement, l’hôpital privé d’El Jadida, et projette d'en construire de nouveaux, dont un hôpital privé à Tanger et un hôpital privé à Bouskoura (actuellement en cours de construction). - © Akdital Holding

Acteur majeur de la santé privée au Maroc, Akdital prévoit d'ouvrir en 2020 un sixième établissement, l’hôpital privé d’El Jadida, et projette d'en construire de nouveaux, dont un hôpital privé à Tanger et un hôpital privé à Bouskoura (actuellement en cours de construction). - © Akdital Holding

Akdital, l’un des plus grands groupes de cliniques privées au Maroc avec 550 lits et 1 200 employés, accueille parmi ses actionnaires le capital-investisseur barcelonais axé sur l'Afrique Mediterrania Capital Partners. Fondée par Rochdi Talib en 2011, la cible exploite cinq cliniques dans le Grand Casablanca, dont trois pluridisciplinaires (Jerrada, Ain Borjaa et Ain Sebaa), une spécialisée dans la cardiologie (Longchamps) et la dernière dédiée aux traitements cancérologiques (Clinique Internationale d’Oncologie), auxquelles il faut ajouter une unité dédiée aux séjours de longue durée pour les patients internationaux. Le montant de cette augmentation de capital de 20 % n’a pas été dévoilé, mais Mediterrania Capital Partners prend généralement des tickets compris entre 9 et 27 M€ (10 et 30 M$) dans des PME réalisant entre 20 et 300 M€ de chiffre d’affaires, et ayant des stratégies d’expansion en Afrique du Nord et subsaharienne. Cet cinquième investissement du véhicule MC III (après le marocain TGCC, l’égyptien Cairo Scan, l’ivoirien Cofina et le tunisien Aziza) vise à soutenir les projets de développement d’Akdital, dans le contexte d’une forte augmentation de la demande des services de santé privés au Maroc, stimulée par une forte croissance démographique et économique. Le groupe marocain projette de construire cinq nouveaux établissements de santé à l’horizon 2025. Akdital Holding a été accompagné par Innova Santé (spécialiste du secteur de la santé), BMCE Capital Conseil, Omnipact et le Centre d’Étude, de Gestion et d’Organisation. Asafo & Co et Allen & Overy ont quant eux conseillé les parties prenantes sur le plan juridique.

Nouveau fonds : AfricaGrow / KfW Development Bank / Allianz Global Investors (Afrique / Allemagne)

Équipe d'Allianz Global Investors - © Allianz Global Investors

Équipe d'Allianz Global Investors - © Allianz Global Investors

La banque allemande de développement KfW et Allianz Global Investors, société d'investissement multi-classe d'actifs d'envergure internationale, lancent un nouveau fonds destiné à fournir des ressources financières aux fonds de capital-investissement et de capital-risque africains. Domicilié en Allemagne et géré par Allianz GI, AfricaGrow compte financer près de 150 PME sur le continent d’ici 2030. Il ciblera prioritairement les pays africains axés sur les réformes, afin de créer un impact social et économique mesurable au profit des sociétés bénéficiaires. Ambitionnant de créer 25 000 emplois en dix ans, il démarre ses activités avec un actif initial de 170 M€ (188 M$), dont 85 M€ (94 M$) provenant du groupe industriel allemand BMZ, 30 M€ (33 M$) d’une filiale de KfW et le reste d’Allianz.

Fonds - Santé : Hospital Holdings Investment / SFI (Afrique subsaharienne / Pays-Bas / International)

Un hôpital en Afrique - © David Mark/Pixabay

Un hôpital en Afrique - © David Mark/Pixabay

La Société Financière Internationale (SFI), membre du groupe de la Banque mondiale, injecte 20 M€ (22M$) dans le capital de la holding Hospital Holdings Investment (HHI), véhicule du fonds néerlandais Investment Fund for Health in Africa II (IFHA II) axé sur les services de soins de santé en Afrique subsaharienne. L’institution dédiée au secteur privé dans des marchés émergents, qui réalise ainsi son plus important investissement dans ce secteur sur le continent, prévoit par ailleurs de construire des installations et d’acquérir des actifs de soins de santé existants en Afrique orientale et australe. Elle sera soutenue dans ce projet par des organismes de développement comme Swedfund, Finnfund, IFU et Proparco qui sont coactionnaires au sein de HHI. Cet apport devrait permettre à la cible d’élargir ses services en Afrique orientale et australe, passant d’un hôpital et trente-cinq cliniques à cinq hôpitaux et cinquante-deux cliniques, et desservant jusqu’à 1,8 million de patients par année jusqu’en 2024.

Nouveau fonds - Agriculture & Services : UBA / Ecobank / Bank of Industry Nigeria / BAD (Afrique / Nigeria)

Un consortium de banques nigérianes, comprenant United Bank for Africa (UBA), Ecobank et Bank of Industry Nigeria, en partenariat avec la Banque Africaine de Développement (BAD)et le Fonds Africain de Garantie (FAG), vont mettre en place un fonds de 271 M€ (300 M$) en vue de combler le déficit de financement à l’égard des femmes en Afrique. D’une taille cible de 2,7 Md€ (3 Md$), ce fonds octroiera aux femmes les ressources nécessaires au lancement de PME dans le domaine de l'agriculture, de l'élevage, et des services. Grâce à cet accord entre les banques, il y a une garantie de partage des risques qui permettra augmenter les prêts.

Nomination - Société : Eneo (Cameroun / France / Royaume-Uni)

Eric Mansuy, Eneo

Eric Mansuy, Eneo

Le français Eric Mansuy prend les rênes d’Eneo, le concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun, contrôlé par le fonds d’investissement britannique Actis. Il remplace au poste de DG le camerounais Joël Nana Kontchou, qui aura réussi à proroger de dix ans le contrat de concession avec l’État du Cameroun. Cette nomination ravive les supputations sur l’éventuelle cession des actifs détenus par Actis dans le capital de l’électricien. EDF serait particulièrement intéressé par le rachat de cette participation, qui permettrait aux entreprises françaises de prendre le contrôle du secteur de l’électricité au Cameroun, dominé depuis le début des années 2000 par les Anglo-saxons (Américains puis Britanniques). Devenu DGA d’Eneo en janvier dernier, Eric Mansuy occupait jusque-là le poste d’International Project Director au sein du géant français de l’électricité.

Étude : le Nigeria, un géant économique aux pieds d’argile

Étude de l'ICDM dédiée au Nigeria - © ICDM

Étude de l'ICDM dédiée au Nigeria - © ICDM

Une récente étude de l’Institut pour la Conquête Des Marchés (ICDM), société française d’intelligence et de veille économiques dédiées aux marchés émergents, met en exergue le potentiel énorme et méconnu en France du Nigeria, qui constitue la première économie du continent africain, tout en affichant de nombreuses fractures, économiques, ethniques, religieuses et géographiques. Affichant un nombre considérable de fortunes privées, majoritairement constituées en dehors du secteur pétrolier et gazier, le pays rassemble aussi une classe moyenne de trente millions de personnes aux standards de consommation évolués en comparaison d’autres grands pays d’Afrique. Lagos, première métropole d’Afrique subsaharienne, affiche un PIB supérieur au PIB du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Bénin et du Togo réunis. Les autorités de la ville n’hésitent pas à développer des projets sur mesure, à commencer par le projet pharaonique d’Eko Atlantic City, ville nouvelle aux accents futuristes qui doit sortir de terre sur l’île de Victoria, sur des terrains en partie gagnés sur l’océan. Le Nigeria connaît par ailleurs une vitalité entrepreneuriale hors normes sur le continent africain et une forte créativité dont témoigne son troisième rang mondial en termes de production de films. Il n’en reste pas moins que la majorité de la population continue de vivre dans l’extrême pauvreté, avec 170 millions de Nigérians qui se battent quotidiennement pour gagner un à deux dollars par jour à travers une économie informelle faite de subsistance agricole et de micro-trading. Le pays accuse un retard particulièrement critique dans le développement des infrastructures de transports, d’énergie et des services de soutien à la population. Dans un contexte de reprise économique après le choc des devises de 2016, la prime globale de risque-pays du Nigeria mesurée par Tac Economics, est estimée à 613 points de base, ce qui signifie que toute opération ou projet au Nigeria devrait être associé à un taux de retour sur investissement supérieur de 6,1 % à celui d’un projet similaire aux États-Unis. En dépit d’un environnement sécuritaire peu favorable au développement de l’économie, les dirigeants des sociétés étrangères, souvent interviewés au cours de l’étude, estiment que le sujet de la sûreté est maîtrisable. L’ICDM met en perspectives les interrogations et les scénarios d’évolution pour le moyen terme. Malgré les hypothèses et incertitudes, les opportunités économiques du Nigeria sont jugées colossales par la majorité des investisseurs.

Et aussi...

  • Fonroche Éclairage, filiale du groupe Fonroche spécialisée dans l’éclairage public et la production d’EnR, décroche un contrat de 22 M€ pour la fourniture et l’installation de quinze mille lampadaires solaires dans plusieurs localités au Bénin. Ce succès renforce son entrée sur les marchés de l’Afrique de l’Ouest, après un contrat remporté au Sénégal pour près de 87 M€.
  • Ezzayra Solutions, pionnier dans le domaine de la smart agriculture en Tunisie, s’apprête à ouvrir une antenne au Maroc, après avoir établi un partenariat avec un distributeur local, et prévoit également de prendre pied en Guinée-Conakry, au Mali et en France.
  • L’égyptien Adzily qui exploite un réseau d’écrans numériques pour diffuser des contenus publicitaires dans des restaurants, cafés et lieux publics en Égypte, lève 20M€ (22M$) auprès de la société saoudienne d’investissement Tharawat Holding Company afin de poursuivre son développement dans le pays, et étendre ses activités en Arabie saoudite.
  • En Namibie, Business Financial Solutions, une société de conseil et gestion d’actifs, lance un véhicule d’investissement dédié au financement de PME avec une taille cible de 9,2 M€ (150 NAD). Kula Capital Namibia Impact Fund (KCNIF) prendra des participations minoritaires dans des entreprises à fort potentiel de croissance et dont les activités génèrent des impacts positifs au niveau social et environnemental.
  • La plateforme nigériane d’apprentissage uLesson reçoit 2,8M€ (3,1M$) à l’occasion d’un tour d’amorçage mené par le VC britannique TLcom Capital, qui lui permettra de déployer son application d’ici février prochain en Afrique de l’Ouest anglophone, principalement au Ghana, en Sierra Leone et en Gambie.
  • Le groupe minier français Eramet décroche les permis de rutile d’Akonolinga, au centre du Cameroun, et concrétise ainsi son intérêt pour les sables minéralisés.
  • L’ingénieure Nawal Gharmili Sefrioui pilotera Orange Money Maroc, fondé en juin dernier et devant lancer officiellement ses activités au premier trimestre 2020. Elle a effectué l’ensemble de sa carrière au sein de la filiale marocaine du groupe Orange.
  • Le capital-investisseur Rx Healthcare Management (RxHM), qui cible des actifs dans le secteur médical en Afrique et au Moyen-Orient, réalise son premier engagement dans le secteur médical égyptien, avec l’acquisition d’une participation majoritaire dans le capital d’United Pharma.
  • Zoscales Partners, une firme de private equity basée en Éthiopie, vient de réaliser la quatrième transaction de son premier véhicule, avec une prise de participation dans le capital du fabricant éthiopien de biscuits Ahadukes Food Products. Ni le montant ni le pourcentage e la participation détenue à présent par le gestionnaire de fonds n’ont été divulgués.

Bonne fin de semaine et à mardi prochain.

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