Comment tirer le meilleur parti de la SAS, régime qui s'est imposé aussi dans le private equity. L'auteur de l'ouvrage, Pierre-Louis Périn, associé de SJ Berwin l'explique sans cette nouvelle édition bénéficiant de l'apport du professeur Michel Germain.
Pour ses auteurs, Pierre-Louis Périn (photo ci-dessous) et Michel Germain, le constat est net. La société par actions simplifiée (SAS) est aujourd’hui très largement utilisée, dans tous les secteurs de l’économie et toutes les formes d’entreprises. En particulier, pratiquement tous les acteurs du capital investissement l’utilisent pour structurer leurs participations ou leurs propres structures de gestion.
La SAS présente de nouvelles potentialités :
- elle se simplifie encore, pour s’organiser éventuellement sans capital ni commissaire aux comptes ;
- elle accepte des apports en industrie, qui permettent d’intéresser de nouveaux associés n’apportant que leur travail ou leur crédit personnel ;
- elle peut accéder à certains marchés financiers.
De nouvelles jurisprudences
Son régime se précise, avec de nouvelles jurisprudences qui doivent impérativement être connues pour éviter les erreurs en matière de représentation de la société, ou pour tirer le meilleur parti de son efficacité pour gérer les entrées et sorties d’associés.
L'ouvrage présente un e synthèse complète et actualisée, apportant des réponses pratiques aux questions les plus délicates de ce régime. Il s’y ajoute des formules de statuts et d’actes. Cet ouvrage donne à chacun les moyens de tirer le meilleur parti de la SAS.
SAS- La société par actions simplifiée. Michel Germain et Pierre-Louis Périn. 4° édition. Paris, Joly – Lextenso éditions, octobre 2010