L'actualité & Data du capital-investissement : transactions, LBO, M&A, Venture, Corporate Finance et Private Equity - Leader en France

28/05/2025
Capital innovation
Kyron.bio se couvre de VCs
28/05/2025
Nominations
Montefiore s'ouvre aux clients privés
28/05/2025
Build-up
Eurodommages complète la palette d'un confrère
28/05/2025
International
Un fonds français en série A pour Inven
28/05/2025
Build-up
TGW collecte un marseillais
28/05/2025
LBO
Andera Acto resyndique une participation
28/05/2025
LBO
Pralus fond pour quatre investisseurs
28/05/2025
M&A Corporate
Solutec s'adosse à un groupe coté
28/05/2025
Nominations
Orrick enrôle un associé
28/05/2025
Retournement
Eolane trouve preneur pour son site de Valence
28/05/2025
LBO
Kint Partners trouve des ressources non dilutives
28/05/2025
Nominations
Altaroc part à la conquête des institutionnels
28/05/2025
Capital innovation
Cathay Innovation III touche le milliard
28/05/2025
Nominations
NCI structure son siège et recrute
28/05/2025
Capital innovation
Ankar intègre aussi l'intelligence de VCs français
CANVIEW

Le large choix d’outils tire le marché Accès libre


| 271 mots

Les taux d’intérêt plafonnant au plus bas, les grands groupes cotés utilisent les différents ressorts de la dette pour financer leurs acquisitions. Le rachat du spécialiste dans les équipements de traitement d’eau GE Water, par Suez (70 %) et la CDPQ (30 %) pour 3,2 Md€ s’est d’abord effectué par un financement relais. Puis, à côté d’une augmentation de capital de 750 M€, une émission de dette obligataire pour 1,1 Md€ et de titres hybrides a été structurée. « Pour cette opération, l’important était de garder un équilibre du bilan en rapport avec la politique financière déjà établie, dont le rating », explique Bruno Magnouat, responsable financements d’acquisition Europe chez Société Générale CIB, conseil de Suez.

Le groupe coté a donc utilisé un mix entre instruments dilutifs et non dilutifs. « Les émissions d’obligations et l’augmentation de capital devaient respecter un certain séquençage en s’imbriquant avec les échéances existantes comme les AG ou les annonces de résultats », poursuit-il. Pour mettre la main sur le fabricant américain coté de produits laitiers bio, The WhiteWave Foods, Danone a mis sur la table 9,95 M$. Mais pour ce faire, il a procédé à deux émissions obligataires de 6,2 Md€ et 5,5 Md$ - coordonnées par JP Morgan et BNP Paribas - affichant des maturités allant de 2 à 12 ans tout en mettant en place un crédit syndiqué de 13,1 Md$.

Lire la suite sur CFNEWS Magazine - en accès libre

CFNEWS propose désormais une API REST. Accédez à l'ensemble de nos articles et nos données depuis votre CRM. Pour plus d'informations, contactez abo@cfnews.net et/ou visitez API.CFNEWS.NET