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Infrastructures en Afrique : un chantier taillé pour le private equity


| 250 mots

L’Afrique vit une croissance démographique sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Les défis sont à la hauteur de ces enjeux. Pour ne pas entraver son développement économique, une énorme pression se fait mécaniquement ressentir sur les besoins en infrastructures : urbanisation, routes, autoroutes, aéroports, énergie, télécom, santé, éducation, etc.

Ce n’est pas un hasard si lors de son investiture, le 1er septembre dernier, le nouveau président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinvumi Adesina, s’est exclamé : « Nous devons éclairer l’Afrique et développer l’énergie, l’énergie étant le moteur de l’économie. » Pour y parvenir, il faudra de l’argent, beaucoup d’argent. La Banque mondiale estime qu’il faudrait 93 Md$ par an pour éclairer le continent d’ici 2020. Mais le secteur public africain en mobilise 30 Md$, le secteur privé 9 Md$ et les institutions de financement du développement (AFD, FMO, etc.) environ 6.

« Il reste 48 Md$ à trouver chaque année. C’est une opportunité pour le secteur privé, les fonds de pension, les fonds souverains, etc. », insiste Cédric Achille Mbeng Mezui (photo ci-contre), coordinateur Initiative des marchés financiers africains à la BAD. Combler ce déficit de financement permettrait à l’Afrique de gagner 2 % de croissance par an.

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