Il était une fois…
une entreprise dans le secteur de la culture, dont la stratégie spécifique a toujours été reconnue comme originale et dont le logo est identifié par la quasi-totalité des consommateurs français. Cette entreprise française de 700 M€ de chiffre d'affaires et de 5 000 collaborateurs était intégrée au sein d’un groupe européen de communication qui portait les fonctions support pour le compte de l’ensemble de ses filiales. Le cash management était centralisé par les équipes du siège du groupe et la gestion quotidienne de la trésorerie de notre entreprise était réduite à un simple appel téléphonique quotidien pour annoncer ses besoins ou ses disponibilités.
A la suite du recentrage du groupe européen sur ses autres métiers, l’entreprise a été cédée à un fonds d’investissement. Les équipes centrales du groupe européen ayant cessé d’assurer les missions transverses, le management de l’entreprise française a du prendre en charge de nouvelles missions et de
fonctions inconnues pour lui, jusqu’ici. En particulier, il a du apprendre à devenir totalement autonome pour la gestion de sa trésorerie et de ses financements alors que l’entreprise ne disposait d’aucune expérience, ni d’expertise sur ces domaines particuliers. En terme d’organisation, elle était totalement dépourvue d’équipe, de système dédiés et même d’outils de pilotage du cash. Le défi à relever était de taille.
Dans cet environnement, le management de l’entreprise a eu le bon reflexe pour faire face à cette situation inédite. Pour appréhender ces nouveaux risques, identifier les process et les outils pour y faire face, il a décidé de se faire accompagner par des professionnels de la gestion de la trésorerie. Ce support lui a permis de gagner un temps précieux, de mettre immédiatement en place l’organisation et les outils dont l’entreprise avait réellement besoin. Cet accompagnement externe a ainsi couvert les aspects purement techniques (outils, systèmes, procédures…) mais aussi les aspects qualitatifs (formation des équipes à la culture cash) du projet.
Conclusion : dans ce cas précis, la force du management de cette société a été d’identifier clairement l‘urgence de la situation, de reconnaitre les difficultés qui étaient les siennes pour gérer efficacement ce projet, aussi structurant que spécifique, dans un timing très court et d’accepter de se faire accompagner par un tiers. Il a clairement su transformer des contraintes fortes en opportunités !
Et n’oubliez pas, ‘Cash is King’ !
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