Recherche

L'actualité & Data du capital-investissement : transactions, LBO, M&A, Venture, Corporate Finance et Private Equity - Leader en France

31/10/2024
International
Sphere s’emballe pour le marché italien
31/10/2024
Capital innovation
WeKare soigne son amorçage
31/10/2024
Capital développement
Ion Beam Services conduit sa transmission
31/10/2024
Capital innovation
Starfish Bioscience s'étend avec un VC régional
31/10/2024
Exclusif CFNEWS
Un nouveau cabinet d’avocats à Lyon
30/10/2024
Build-up
Alive Groupe se projette en IDF
30/10/2024
M&A Corporate
IT Link accélère dans le ferroviaire
30/10/2024
M&A Corporate
Vidi Capital radiographie l’estuaire de la Seine
30/10/2024
Exclusif CFNEWS
HPCS se finance auprès d’un fonds
30/10/2024
International
Vinci pave son activité construction au Royaume-Uni
30/10/2024
Build-up
Caktus se pique d'un provençal
30/10/2024
Capital innovation
Beyond Aero sur le tarmac avec un anglais et la BPI
29/10/2024
International
Isagri se conforme à la réglementation espagnole
29/10/2024
International
Steliau continue son tour d’Italie
29/10/2024
Retournement
Airfree vole à bord d'un concepteur d'équipements embarqués
CANVIEW

Afrique #160 : Bolloré Africa Logistics, Velogic, Metro Africa Xpress, Alitheia IDF...


| 2725 mots
Le port de Conakry, l'une des concessions de Bolloré Africa Logistics. - © Port Autonome de Conakry

Le port de Conakry, l'une des concessions de Bolloré Africa Logistics. - © Port Autonome de Conakry

Transport & logistique : Bolloré Africa Logistics / MSC / Groupe Bolloré (Afrique / Suisse / France)

5,7 Md€ : telle est la somme que devrait toucher au minimum le géant français Bolloré pour la cession de l’intégralité de ses concessions portuaires en Afrique. Venant confirmer des rumeurs circulant depuis octobre (relire bulletin #151), après trente-six ans de présence sur le continent, le conglomérat s’apprête à tourner une page décisive de son histoire en se séparant d’environ quarante-deux ports (dont vingt-cinq à conteneurs), ainsi que d’entrepôts et de trois lignes ferroviaires opérées par Bolloré Africa Logistics (BAL). Alors que le marseillais CMA CGM et le danois Maersk étaient pressentis comme de potentiels acheteurs, c’est avec l’armateur suisse MSC (Mediterranean Shipping Company) que Bolloré vient de signer un accord d’exclusivité. Les négociations exclusives s’achèveront le 31 mars prochain (voir fiche opération avec les conseils sur CFNEWS). Déjà implanté dans les ports de Lomé (Togo) et de San Pedro (Côte d’Ivoire), l’acquéreur suisse est l’un des plus grands armateurs de porte-conteneurs du monde. Fondée en 1970 et basée à Genève depuis 1978, cette compagnie privée dirigée par la famille italienne Aponte dispose d'une flotte de 560 navires, d’un réseau de 524 sites et de plus de 100 000 employés.

BAL a engrangé 2,1 Md€ de revenus en 2020 (et presque autant en 2021), avec plus de 28 000 salariés. À titre comparatif, le groupe Bolloré a réalisé un total de 24,1 Md€ de chiffre d’affaires en 2020 et emploie plus de 79 000 collaborateurs dans 130 pays. Véritable tournant dans le milieu de la manutention portuaire internationale, la vente de ses activités de transport et de logistique en Afrique intervient dans un contexte de réorganisation interne, puisque Vincent Bolloré s'apprête à passer la main à ses enfants à l'occasion du bicentenaire de son groupe. Si la transaction aboutit, le groupe Bolloré conservera malgré tout une présence importante en Afrique, où il avait pris pied dès 1986 avec le rachat à Suez de la SCAC (Société commerciale d'affrètement et de combustible). La multinationale contrôle en effet indirectement Canal+ (en tant que filiale de Vivendi), qui peut se targuer d’être le premier opérateur de télévision payante en Afrique francophone et un actionnaire important du sud-africain MultiChoice, numéro un de la télévision payante en Afrique anglophone (relire bulletin #149). Par ailleurs, le groupe tricolore entend poursuivre ses investissements sur le continent dans d’autres secteurs, tels que la communication, le divertissement, les télécoms, ou encore l’édition.

 

Bourse & Logistique : Velogic / Stock Exchange of Mauritius / Amethis (Maurice / France)

© Velogic

© Velogic

Huit ans après son entrée au capital, le fonds de capital-développement Amethis (dont la capacité d'investissement dépasse les 800 M€) cède la totalité de sa participation de 33,77 % dans Velogic, une entreprise de logistique mauricienne, dans le cadre de la cotation de cette dernière sur le Development & Enterprise Market de la la Stock Exchange of Mauritius, à un prix d’introduction de 0,5 € (25 MUR) par action. Des investisseurs à la fois particuliers et institutionnels se sont portés acquéreurs des actions cédées. Le ticket de sortie obtenu par Amethis est estimé à environ 15,8 M€ (790 MMUR).
Fondé en 1964 et actuellement basée à Port-Louis, Velogic dispose d’une expertise reconnue en matière de transit international, de dédouanement, de transport, d’entreposage, de services portuaires, de services de messagerie, d'agence maritime et d’emballage de sucres spéciaux. Sa clientèle internationale opère dans des secteurs aussi variés que la santé, le commerce de détail, ou encore la construction et la mode. Huawei, les Galeries Lafayette et des agences des Nations unies sont quelques-uns de ses clients les plus notables. Ce n’est qu’en 2016 que la société présidée par Philippe Espitalier-Noël a débuté ses activités sur le continent africain, grâce à l'acquisition de deux sociétés au Kenya dans les segments du dédouanement et du transport. Désormais implantée dans sept pays (Maurice, Kenya, Madagascar, Réunion, Inde, Singapour et France), elle compte 1 400 employés et plus de 300 agents, répartis dans trente-huit bureaux à travers le monde. L’investissement d’Amethis en décembre 2013 avait contribué à soutenir son expansion géographique. Conformément à la stratégie du fonds qui consiste à construire des champions régionaux africains, cet investissement a aussi permis à la cible d’accroître ses revenus (à plus de 75 M€) et de multiplier par plus de deux son Ebidta (à environ 7 M€), en favorisant la croissance du volume traité, et sa diversification dans des services à plus forte marge.

Vishal Nunkoo, Velogic

Vishal Nunkoo, Velogic

Suite à son introduction en Bourse, Velogic demeure contrôlé par le Groupe Rogers (Rogers and Company Limited), un conglomérat mauricien actif dans divers secteurs qui conserve sa participation majoritaire de 66,23 %. Cette IPO « lui permettra de susciter l’intérêt des investisseurs locaux et internationaux dans le but de diversifier la base actionnariale de l’entreprise et de stimuler la liquidité de ses actions. Avec notre présence dans l’océan Indien, nous sommes bien positionnés pour utiliser Maurice comme un hub logistique pour la région. Notre ambition est de consolider nos activités sur nos marchés traditionnels tout en nous focalisant sur notre croissance sur les marchés émergents, à savoir l'Afrique de l’Est, Madagascar et l’Inde », a expliqué Vishal Nunkoo, le directeur général de la société cible. Amethis s’est déclaré satisfait de cette sortie « via la Bourse de Maurice : c'est la deuxième sortie d'Amethis par le biais d'une introduction en bourse et cela montre le dynamisme croissant des marchés boursiers africains. Nous sommes heureux que les nouveaux actionnaires de Velogic valorisent l'engagement de longue date de la société en faveur de pratiques plus durables, tant sur le pilier environnemental, avec l'utilisation croissante d'énergies renouvelables, que sur le pilier social, avec des programmes de formation ambitieux pour les employés de la Société », a affirmé Khady Koné-Dicoh, associée chez Amethis (voir fiche opération sur CFNEWS).

 

Internet & Transports : Metro Africa Xpress / Lighrock / Global Ventures / Proparco / Novastar Ventures (Nigeria / Royaume-Uni / Émirats arabes unis / France / Kenya)

© Metro Africa Xpress

© Metro Africa Xpress

La start-up nigériane Metro Africa Xpress (MAX), plateforme d’abonnement de véhicules, collecte 27,6 M€ (31 M$) en série B auprès du fonds britannique Lightrock et du VC émirati Global Ventures (en lead), du français Proparco (via son Digital Africa Bridge Fund), ainsi que du kényan Novastar Ventures (voir fiche opération sur CFNEWS). Fondé en 2015 à Lagos par Adetayo Bamiduro et Chinedu Azodoh, MAX a vocation à rendre « la mobilité sûre, abordable, accessible et durable en déployant des technologies et des opérateurs haute performance », selon les termes d’Adetayo Bamiduro, son P-dg et co-fondateur, grâce à des formules d'abonnement intégrées, abordables et sans garantie, notamment à des véhicules à émissions faibles à nulles, mais également des abonnements de soins de santé, d'assurance, de maintenance et d'e-hailing. La somme réunie permettra à la jeune pousse de financer son expansion internationale en Égypte et au Ghana au cours du premier trimestre 2022, puis en Afrique francophone, Afrique orientale et australe. Elle compte également s’appuyer sur cet apport pour financer le déploiement de véhicules électriques et d’infrastructures de recharge, ainsi que la fourniture de crédit et de produits financiers à plus de 100 000 conducteurs.

 

Fonds : Alitheia IDF / BEI / BAD / DGGF / Soros Foundation / NSIA (Nigeria / Afrique du Sud / Afrique anglophone / Luxembourg / Côte d’Ivoire / Pays-Bas / États-Unis)

Jetstream, l'une des sociétés du portefeuille d'Alitheia IDF. - © Alitheia IDF

Jetstream, l'une des sociétés du portefeuille d'Alitheia IDF. - © Alitheia IDF

Le fonds de private equity Alitheia IDF, coentreprise entre Alitheia Capital (Nigeria) et IDF Capital (Afrique du Sud), qui se dédie aux femmes entrepreneurs d’Afrique anglophone, vient de réaliser son closing final à 88,7 M€ (100 M$), devenant ainsi « le plus grand fonds de capital-investissement intégrant le genre en Afrique ». La Banque Européenne d’Investissement (BEI) a injecté 21,8 M€ (24,5 M$), rejoignant ainsi les précédents contributeurs, dont la Banque Africaine de Développement (BAD), le Dutch Good Growth Fund (DGGF), Soros Foundation ou encore la Nouvelle Société Interafricaine d’Assurance (NSIA). Ciblant des projets de 1,8 à 4,4 M€ (2 à 5 M$), dans des secteurs porteurs comme l’agro-industrie, l’éducation, l’industrie manufacturière, le logement, la technologie et la logistique, Alitheia IDF a déjà investi dans cinq entreprises détenues, dirigées et / ou au service des femmes, à savoir Jetstream Africa (Ghana), ReelFruit (Nigeria), SKLD (ex SchoolKits, Nigeria), AV Light Steel (Afrique du Sud), et Chika’s Foods (Nigeria). Alitheia IDF est active à ce jour dans six pays africains : Nigeria, Afrique du Sud, Ghana, Zimbabwe, Lesotho et Zambie.
Bien qu’elles représentent 58 % de la population africaine et plus de 40 % des dirigeants de PME en Afrique, les femmes « sont mal desservies en tant que consommatrices et productrices », affirme Tokunboh Ishmael, associée co-fondatrice chez Alitheia IDF aux côtés de Polo Leteka. Elles reçoivent en effet moins de 5 % de l'ensemble des investissements sur le continent. Or, « cette situation a un impact considérable sur la croissance économique, car le potentiel de plus de la moitié de la population du continent reste inexploité, en raison des problèmes structurels et systémiques ». En atteste une étude du cabinet McKinsey, selon laquelle la réduction de l’écart d'investissement entre entrepreneurs masculins et féminins entraînera une croissance de 26 % du produit intérieur brut (PIB) global du continent, d'ici 2025.

 

Fonds : 4DX Ventures (Ghana / Nigeria / Afrique du Sud / Égypte / Kenya / Côte d’Ivoire)

© Autochek

© Autochek

Le VC ghanéen 4DX Ventures a réalisé le closing final de son deuxième véhicule à 53 M€ (60 M$), dépassant ainsi légèrement sa taille cible de 44 M€ (50 M$). Lancé au premier trimestre 2021, ce dernier investira dans des entreprises d’Afrique anglophone (Nigeria, Afrique du Sud, Égypte et Kenya), mais aussi francophone (Côte d’Ivoire), en se focalisant plus particulièrement sur les secteurs des services financiers, de l’e-commerce, de la santé et de la logistique. « Notre objectif en fin de compte est d'investir dans des entreprises qui résolvent des problèmes fondamentaux sur le continent et aussi sur les plus grands marchés, car la taille du marché a une grande importance pour les résultats potentiels des entreprises », a déclaré Walter Baddoo, associé co-fondateur de 4DX Ventures depuis 2017. Le portefeuille du véhicule comprend d’ores et déjà plus d’une quarantaine d’entreprises, à l’instar d’Autochek (relire bulletin #153), Breadfast (bulletin #156), MaxAB, Taager, Trella et Yoco (bulletin #144), situées en Afrique mais aussi au Moyen-Orient et aux États-Unis, et qui ont levé au total plus de 1 Md€ (1,2 Md$) de fonds pour soutenir leurs activités.

 

Infrastructures logistiques : Plateforme Industrielle d’Adétikopé / BOAD (Togo / Gabon / Singapour / Nigeria)

Plateforme industrielle d'Adétikopé (PIA). - © Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD)

Plateforme industrielle d'Adétikopé (PIA). - © Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD)

Conseillée par Linklaters, la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a récemment octroyé un financement à la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA), une joint-venture entre Arise Integrated Industrial Platforms (IIP) et l’État togolais. Situé à 15 km au nord de Lomé, le parc industriel multisectoriel permettra de favoriser la transformation locale de produits agricoles togolais (coton, noix de cajou, soja, riz, sésame…) et l’industrialisation de plusieurs secteurs clés, ainsi que la création de 35 000 emplois locaux. Représentant un investissement total de 200 M€, PIA est appelé à jouer un rôle de catalyseur en soutenant la croissance économique, l'intégration régionale et les échanges commerciaux du Togo. Lors de sa création en 2020, Linklaters était déjà intervenu en tant que conseil financier d’Arise IIP, développeur de zones économiques spéciales en Afrique, lui-même JV entre Olam (49,5 %) et l’institution financière multilatérale Africa Finance Corporation (AFC - 50,5 %). La plateforme industrielle de 400 ha a été inaugurée en juin dernier par le chef de l’État togolais, Faure Gnassingbé.

 

Nomination - Avocats : Pinsent Masons (France / Afrique subsaharienne)

Matthieu Le Roux et Olivier Bustin, Pinsent Masons

Matthieu Le Roux et Olivier Bustin, Pinsent Masons

Le cabinet d'avocats international Pinsent Masons, créé en Angleterre en 1769 et implanté en France depuis 2012, renforce son bureau parisien avec l’arrivée de deux experts de l'Afrique subsaharienne : Matthieu Le Roux et Olivier Bustin, associés spécialisés dans le secteur de l’énergie. En provenance de Vieira de Almeida (VdA), ils ont développé une expertise particulière dans les projets basés dans les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale membres de l'Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA). Fort d’une expérience de près d’une décennie au Tchad et au Gabon, Matthieu Le Roux se focalise sur l'assistance juridique et fiscale aux investisseurs internationaux, avec un accent particulier sur l'industrie du pétrole et du gaz. Inscrit au barreau de Kinshasa-Matete, en République Démocratique du Congo, Olivier Bustin se concentre quant à lui sur les négociations de contrats/permis d’exploration et d’exploitation, le droit de la sous-traitance, les opérations de fusions, acquisitions et restructuration, le financement de projets d’infrastructures, les négociations de partenariats public-privé, principalement dans le secteur des énergies et des ressources naturelles en Afrique francophone subsaharienne.
Ces nouvelles nominations s'inscrivent dans une stratégie de croissance de Pinsent Masons en France. Le cabinet a récemment remporté des mandats sur plusieurs projets, parmi lesquels le conseil à la Société Financière Internationale (SFI) pour la structuration et le refinancement d'un groupe hôtelier en Côte d'Ivoire, au Sénégal et au Cameroun. Placé sous la direction de Valérie Blandeau, le bureau parisien compte désormais dix-huit avocats, dont onze associés (pour plus de détails, lire l'article Pinsent Masons s'intensifie dans l’énergie sur CFNEWS INFRA).

 

Et aussi...

  • Le fonds d’infrastructures Meridiam inaugure deux projet majeurs sur le continent :  le nouveau terminal de l’Aéroport International d’Ivato à Antananarivo (Madagascar), dont la construction a nécessité plus de 200 M€ d’investissement, et le terminal à conteneurs du port de Nouakchott (Mauritanie), qui sera géré par une JV du fonds français et du groupe panafricain Arise IS.
  • La Millennium Challenge Corporation (MCC), une agence de développement basée à Washington D.C., et Africa50, une plateforme d'investissement dans les infrastructures basée à Casablanca, viennent de signer un protocole d'accord (MOU) afin d'initier une nouvelle phase dans le lancement du Millennium Impact for Infrastructure Accelerator (MIIA) Africa. Objectif de cette nouvelle plateforme : stimuler et attirer les investissements en Afrique pour des projets d'infrastructure bancables ayant un impact social et économique mesurable.
  • Au Cameroun, Proparco accorde à la filiale locale de la Société Générale deux garanties de portefeuille pour un total de 20 M€, afin de permettre à la banque de renforcer son activité de financement des TPE et PME du pays.
  • Odial Solutions, spécialiste français de l’approvisionnement en eau en milieu rural et de la fourniture d’électricité off-grid, s’apprête à lancer un projet à grande échelle de fourniture d’eau potable au Bénin, dans le cadre d’une délégation de service public.
  • Le Cameroun fait appel aux solutions digitales de l’entreprise tricolore Edenred pour optimiser la gestion de son nouveau programme de subventions aux caféiculteurs et cacaoculteurs locaux.
  • Le géant français de la distribution Carrefour ouvre sa première enseigne au Gabon, avec le lancement d’un supermarché Carrefour Market à Libreville, en partenariat avec avec le groupe gabonais Prix Import. Il s’agit du dixième pays africain où le groupe français prend pied.
  • White & Case et Lazard Frères ont conseillé la République du Gabon dans le cadre de son émission de 710 M€ (800 M$) d'obligations amortissables à échéance 2031, ainsi que sur l'offre de rachat simultanée relative à ses obligations amortissables à échéance 2024, d'un montant de 1,3 M€ (1,5 M$), et enfin à ses obligations amortissables à échéance 2025, d’un montant de 621 M€ (700 M$). Les obligations sont cotées à la Bourse de Londres en vertu des nouvelles règles d’exonération des émetteurs souverains.

 

Bonne fin de semaine, excellentes fêtes de fin d'année, et au mardi 4 janvier !

Une information à nous soumettre pour ce Bulletin Afrique ? Écrivez-nous à : stephanie.roux@cfnews.net

Retrouvez l'ensemble des chroniques CFNEWS (Afrique, mais aussi Asie et Amérique latine) :

Retrouvez toutes les informations (deal lists, équipes, cessions, véhicules...) :

BOLLORÉ AFRICA LOGIS...
GROUPE BOLLORÉ
MEDITERRANEAN SHIPPI...
VELOGIC
AMETHIS
METRO AFRICA XPRESS ...
LIGHTROCK
GLOBAL VENTURES
PROPARCO
NOVASTAR VENTURES
ALITHEIA CAPITAL
IDF CAPITAL
BANQUE EUROPEENNE D'...
BANQUE AFRICAINE DE ...
NSIA PARTICIPATIONS
4DX VENTURES
BANQUE OUEST AFRICAI...
PINSENT MASONS

CFNEWS propose désormais une API REST. Accédez à l'ensemble de nos articles et nos données depuis votre CRM. Pour plus d'informations, contactez abo@cfnews.net et/ou visitez API.CFNEWS.NET